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Laurent Escure, secrétaire général de l'UNSA Éducation, répond à 3 questions en vidéo sur la rentrée et notre syndicalisme.

Une délégation de l’UNSA Fonction Publique a été reçue en audience par Marylise Lebranchu, ministre de la Décentralisation et de la Fonction publique. L’UNSA a, notamment, fait part d’une « situation tendue sur le terrain voire anxiogène pour les agents ». Le contentieux sur les salaires perdure.

Le 9 septembre 2014, le métier d'animateur socioculturel fêtera ses 50 ans. À cette occasion, Le Journal de l'Animation et le Syndicat de l'Éducation populaire – UNSA invitent tous les animateurs à se mobiliser. Le 9 septembre à 9 h 09, il suffira de publier sur les réseaux sociaux un selfie

« Chouette, on a pas de devoirs ! » se réjouissait hier soir les élèves d’une école primaire en sortant de leur premier jour de classe de cette nouvelle année scolaire. Ils évoquaient ces fameux devoirs à la maison, interdits depuis…1956, mais qui existent toujours, souvent habillés sous la plus acceptable étiquette de « leçons ».

Notre système éducatif semble englué dans une spirale du déclin. Il est le réceptacle des difficultés considérables auxquelles notre pays et nos concitoyens sont confrontés. Il est la proie des provocations populistes. Il est la cible des extrémismes de tout poil. Il est sous le feu des instrumentalisations politiciennes. Il donne, et souvent à juste titre, l’impression d’être incapable d’évoluer, tant les forces de l’inertie et du statu quo y restent influentes…

Parce qu’elle est femme, parce qu’elle est née au Maroc, parce qu’elle défend l’égalité femmes-hommes, la nouvelle ministre de l’Éducation nationale Najat Vallaud-Belkacem est victime depuis son arrivée d’attaques abjectes. On y retrouve à la fois des propos racistes, sexistes, haineux, intolérants. Pour l’UNSA Éducation, ces faits sont intolérables.

Dans un article publié sur son site, l'UNSA Fonction publique acte positivement le maintien dans ses fonctions de Marylise Lebranchu… mais conserve son exigence d'un dialogue social réel et maintient ses demandes en matière de rémunérations comme d'emploi public.

Début septembre 1984, entrait dans les écoles normales la dernière promotion d’élèves institutrices et instituteurs recrutée au niveau du baccalauréat. La suppression du DEUG « enseignement du premier degré », les conduisait à aller passer « vrai DEUG» en fac. L’année suivante, le recrutement se ferait à bac +2, la formation professionnelle en école normale passant de 3 à 2 années.