Les salariés les plus fragiles doivent être la priorité

Pour l’UNSA Éducation la situation des personnels les plus fragiles de par leur contrat, leur salaire ou leur situation individuelle mérite une attention toute particulière.

Pour l’UNSA Éducation la situation des personnels les plus fragiles de par leur contrat, leur salaire ou leur situation individuelle mérite une attention toute particulière.

Les plus bas salaires : une priorité !

Aujourd’hui, le fait d’avoir un emploi n’exclut pas de se retrouver dans une situation de pauvreté.

De nombreux collègues nous interpellent quant à leurs difficultés à « boucler » les fins de mois. A l’UNSA, nous avons fait de ces collègues exerçants des emplois de catégorie C et B une priorité.
Ainsi lorsque les négociations concernant la Fonction publique se sont ouvertes, l’UNSA a demandé un examen prioritaire de la situation de la catégorie C et obtenu des mesures immédiates : gains indiciaires et perspectives d’amélioration de carrière.
Ces premières avancées, certes modestes, sont déjà engrangées. Elles ne nous dispensent pas de continuer à faire avancer nos revendications pour garantir de vraies perspectives. Les agents de catégorie B pour lesquels le protocole PPCR laisse des points d’insatisfaction forts devront également bénéficier d’une attention toute particulière. Concrètement, dans la situation budgétaire contrainte que nous connaissons, la priorité doit être donnée à celles et ceux qui sont le plus fragilisés : les plus bas salaires.

Mieux prendre en compte le handicap …

De même, pour nos collègues en situation de handicap il est important d’améliorer l’accueil et l’intégration, de prendre en compte leurs besoins particuliers et de mettre en place leur accompagnement tout au long de leur carrière.
Certains agents en situation de handicap hésitent à déclarer leur handicap par crainte de discrimination ce qui peut entrainer à une situation de travail dégradée avec les complications qui en découlent.
Les politiques de ressources humaines sur ces situations doivent être améliorées. L’information et la communication doivent intégrer la notion de prévention. L’avis préalable du médecin de prévention est obligatoire pour l’aménagement du poste de travail avant l’arrivée de l’agent en situation de handicap. Un défaut d’anticipation risquerait de l’empêcher de remplir correctement ses fonctions et serait un obstacle à son intégration.

Pour l’UNSA ÉDUCATION il faut réaffirmer sans relâche la nécessité de progresser encore pour que l’emploi des personnels en situation de handicap soit une réalité dans nos ministères éducatifs.

Retrouvez ici nos 25 exigences pour l’Éducation

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Pour l’UNSA Éducation la situation des personnels les plus fragiles de par leur contrat, leur salaire ou leur situation individuelle mérite une attention toute particulière.

Les plus bas salaires : une priorité !

Aujourd’hui, le fait d’avoir un emploi n’exclut pas de se retrouver dans une situation de pauvreté.

De nombreux collègues nous interpellent quant à leurs difficultés à « boucler » les fins de mois. A l’UNSA, nous avons fait de ces collègues exerçants des emplois de catégorie C et B une priorité.
Ainsi lorsque les négociations concernant la Fonction publique se sont ouvertes, l’UNSA a demandé un examen prioritaire de la situation de la catégorie C et obtenu des mesures immédiates : gains indiciaires et perspectives d’amélioration de carrière.
Ces premières avancées, certes modestes, sont déjà engrangées. Elles ne nous dispensent pas de continuer à faire avancer nos revendications pour garantir de vraies perspectives. Les agents de catégorie B pour lesquels le protocole PPCR laisse des points d’insatisfaction forts devront également bénéficier d’une attention toute particulière. Concrètement, dans la situation budgétaire contrainte que nous connaissons, la priorité doit être donnée à celles et ceux qui sont le plus fragilisés : les plus bas salaires.

Mieux prendre en compte le handicap …

De même, pour nos collègues en situation de handicap il est important d’améliorer l’accueil et l’intégration, de prendre en compte leurs besoins particuliers et de mettre en place leur accompagnement tout au long de leur carrière.
Certains agents en situation de handicap hésitent à déclarer leur handicap par crainte de discrimination ce qui peut entrainer à une situation de travail dégradée avec les complications qui en découlent.
Les politiques de ressources humaines sur ces situations doivent être améliorées. L’information et la communication doivent intégrer la notion de prévention. L’avis préalable du médecin de prévention est obligatoire pour l’aménagement du poste de travail avant l’arrivée de l’agent en situation de handicap. Un défaut d’anticipation risquerait de l’empêcher de remplir correctement ses fonctions et serait un obstacle à son intégration.

Pour l’UNSA ÉDUCATION il faut réaffirmer sans relâche la nécessité de progresser encore pour que l’emploi des personnels en situation de handicap soit une réalité dans nos ministères éducatifs.

Retrouvez ici nos 25 exigences pour l’Éducation