SOS homophobie : « Le discours LGBTphobe a retrouvé de la puissance en 2016. »

L’association SOS homophobie a publié mercredi 10 mai son baromètre déclaratif, annuel de l’évolution de la haine anti-LGBT. 

Dans son 21e rapport, SOS homophobie indique avoir reçu 1 575 signalements en un an, un chiffre en augmentation de 20% par rapport à l’an passé.

Qui sont les premières victimes ?

Les trans sont parmi les premières victimes de cette inflation de la surenchère, la biphobie a presque doublé.

Où ?

121 cas d’agressions physiques ont été rapportées à l’association. Elles ont le plus souvent lieu dans l’espace public.

L’homophobie au quotidien persiste. Elle est d’abord le fait de la famille ou de l’entourage proche. les propos homophobes se diffusent également sur le lieu de travail, dans les commerces, à l’école… 

Mais c’est Internet qui demeure le principal canal de diffusion de la LGBTphobie. Elle y ressurgit souvent à propos de l’actualité. Le rapport souligne que les réseaux sociaux sont des défouloirs de haine, d’insultes et de menaces. 

Pour l’UNSA Éducation il est plus que temps de faire reculer ses chiffres alarmants !

Elle rappelle l’importance des politiques de prévention et d’éducation dans la lutte contre toutes les formes de discriminations.

Elle souhaite que le prochain gouvernement maintienne et encourage les actions dans le cadre scolaire et extra scolaire.

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Qui sont les premières victimes ?

Les trans sont parmi les premières victimes de cette inflation de la surenchère, la biphobie a presque doublé.

Où ?

121 cas d’agressions physiques ont été rapportées à l’association. Elles ont le plus souvent lieu dans l’espace public.

L’homophobie au quotidien persiste. Elle est d’abord le fait de la famille ou de l’entourage proche. les propos homophobes se diffusent également sur le lieu de travail, dans les commerces, à l’école… 

Mais c’est Internet qui demeure le principal canal de diffusion de la LGBTphobie. Elle y ressurgit souvent à propos de l’actualité. Le rapport souligne que les réseaux sociaux sont des défouloirs de haine, d’insultes et de menaces. 

Pour l’UNSA Éducation il est plus que temps de faire reculer ses chiffres alarmants !

Elle rappelle l’importance des politiques de prévention et d’éducation dans la lutte contre toutes les formes de discriminations.

Elle souhaite que le prochain gouvernement maintienne et encourage les actions dans le cadre scolaire et extra scolaire.