Nos expressions

Solidarités intergénérationnelle et interprofessionnelle avec l’UNSA

La crise sanitaire que nous traversons continue à nous mettre en tension permanente. Pour l’UNSA Éducation, les enjeux autour des solidarités avec la jeunesse et les plus précaires sont immenses et essentiels. En effet, si cette crise est difficile pour tout le monde, elle l’est encore plus pour celles et ceux qui sont le plus en situation de précarité.

La crise sanitaire que nous traversons continue à nous mettre en tension permanente. Pour l’UNSA Éducation, les enjeux autour des solidarités avec la jeunesse et les plus précaires sont immenses et essentiels. En effet, si cette crise est difficile pour tout le monde, elle l’est encore plus pour celles et ceux qui sont le plus en situation de précarité.

Depuis des mois on constate la détresse de nombreux·ses étudiant·es qui ont dû faire face à la fermeture des universités, à l’impossibilité d’accès à une activité rémunérée, à des difficultés d’accès à la restauration universitaire. Des premières mesures ont été prises mais il reste beaucoup à faire pour soutenir la jeunesse dès maintenant et il faudra se donner les moyens d’accompagner plus fortement encore au moment de la sortie de crise l’accès à l’emploi des jeunes diplômé·es ou de celles et ceux qui sortiront sans qualification. L’UNSA demande un revenu universel de solidarité accessible aux jeunes dès 18 ans.

Cette solidarité nécessaire avec notre jeunesse, s’inscrit pleinement dans la culture syndicale de l’UNSA. Nous travaillons au renouvellement du syndicalisme en cherchant à être plus à même de répondre aux besoins de solidarité intergénérationnelle, de solidarité avec les plus précaires et avec toutes celles et tous ceux qui sont éloigné·es du monde syndical.

Pour l’UNSA Éducation, cette solidarité avec la jeunesse, cette priorité à prendre en compte les plus précaires est une constante. Au-delà des discours et des intentions, c’est concrètement que nous agissons pour prendre en compte chaque jeune dans son parcours de formation et lui donner les moyens de construire son parcours professionnel, c’est concrètement que depuis des années nous n’attendons pas que les contractuel·les de l’éducation deviennent titulaires avant de s’occuper d’eux·elles , c’est concrètement que dans nos revendications prioritaires auprès du ministère dans la revalorisation de tous les métiers, nous mettons en avant les personnels aux rémunérations les plus faibles : AESH, AED, agent·es de catégorie B et C, infirmièr·es et assistant·es de service social.

C’est ce syndicalisme que l’UNSA déploie en revendiquant des mesures d’urgence pour les plus faibles rémunérations, en proposant une offre syndicale différente aux salarié·es qui étaient souvent hors des radars des syndicats, par exemple en s’adressant aux salarié·es des très petites entreprises.

Dans un monde secoué par une crise sanitaire exceptionnelle et auparavant déjà en pleine mutation, nous proposons avec l’ensemble de nos militant·es, l’ensemble de nos adhérent·es une offre syndicale renouvelée, moderne qui s’appuie sur les solidarités intergénérationnelle et interprofessionnelle.

Frédéric MARCHAND
le 1er mars 2021

Sélectionnés pour vous
+ d’actualités nationales

La crise sanitaire que nous traversons continue à nous mettre en tension permanente. Pour l’UNSA Éducation, les enjeux autour des solidarités avec la jeunesse et les plus précaires sont immenses et essentiels. En effet, si cette crise est difficile pour tout le monde, elle l’est encore plus pour celles et ceux qui sont le plus en situation de précarité.

Depuis des mois on constate la détresse de nombreux·ses étudiant·es qui ont dû faire face à la fermeture des universités, à l’impossibilité d’accès à une activité rémunérée, à des difficultés d’accès à la restauration universitaire. Des premières mesures ont été prises mais il reste beaucoup à faire pour soutenir la jeunesse dès maintenant et il faudra se donner les moyens d’accompagner plus fortement encore au moment de la sortie de crise l’accès à l’emploi des jeunes diplômé·es ou de celles et ceux qui sortiront sans qualification. L’UNSA demande un revenu universel de solidarité accessible aux jeunes dès 18 ans.

Cette solidarité nécessaire avec notre jeunesse, s’inscrit pleinement dans la culture syndicale de l’UNSA. Nous travaillons au renouvellement du syndicalisme en cherchant à être plus à même de répondre aux besoins de solidarité intergénérationnelle, de solidarité avec les plus précaires et avec toutes celles et tous ceux qui sont éloigné·es du monde syndical.

Pour l’UNSA Éducation, cette solidarité avec la jeunesse, cette priorité à prendre en compte les plus précaires est une constante. Au-delà des discours et des intentions, c’est concrètement que nous agissons pour prendre en compte chaque jeune dans son parcours de formation et lui donner les moyens de construire son parcours professionnel, c’est concrètement que depuis des années nous n’attendons pas que les contractuel·les de l’éducation deviennent titulaires avant de s’occuper d’eux·elles , c’est concrètement que dans nos revendications prioritaires auprès du ministère dans la revalorisation de tous les métiers, nous mettons en avant les personnels aux rémunérations les plus faibles : AESH, AED, agent·es de catégorie B et C, infirmièr·es et assistant·es de service social.

C’est ce syndicalisme que l’UNSA déploie en revendiquant des mesures d’urgence pour les plus faibles rémunérations, en proposant une offre syndicale différente aux salarié·es qui étaient souvent hors des radars des syndicats, par exemple en s’adressant aux salarié·es des très petites entreprises.

Dans un monde secoué par une crise sanitaire exceptionnelle et auparavant déjà en pleine mutation, nous proposons avec l’ensemble de nos militant·es, l’ensemble de nos adhérent·es une offre syndicale renouvelée, moderne qui s’appuie sur les solidarités intergénérationnelle et interprofessionnelle.

 

 

 

Frédéric MARCHAND
le 1er mars 2021