Réforme des retraites, l’UNSA toujours dans le dialogue

âge légal de départ, paritarisme, financement de la dépendance, l'UNSA donne son point de vue au haut commissaire à la reforme des retraites.

Non à une remise en cause de l’age légal de départ !

L’UNSA a rencontré ce jour le Haut-commissaire à la réforme des retraites et a rappelé que le Haut-commissaire, comme le Président de la République, s’était engagé à conserver l’âge d’ouverture des droits à retraite à 62 ans.

Pour l’UNSA, toute remise en cause de ce principe, alors même qu’il a été acté lors de la concertation, serait un affront envers les partenaires sociaux et les Français.

En réponse, le Haut-commissaire a réaffirmé qu’il n’y aurait pas de remise en cause de l’âge légal qui resterait à 62 ans.

Pour l’UNSA, le débat est donc définitivement clos.

Non au mélange des sources de finacement !

Par ailleurs, l’UNSA s’est étonnée de voir surgir dans le débat public, l’idée de financer la dépendance par la retraite, la dépendance relevant d’un problème de santé publique.

Pour l’UNSA, les retraites, pas plus que la prise en charge de la dépendance, n’ont à gagner à la confusion. Il est plus que temps que cesse cette cacophonie.

Oui au maintien de la gestion paritiaire !

Concernant la gouvernance du futur système de retraite, objet de cette rencontre, l’UNSA a rappelé son fort attachement à une gestion paritaire intégrant l’ensemble des partenaires sociaux employeurs et salariés.

Ce mode de gestion doit permettre de définir la valeur du point, les niveaux des réserves utiles pour le système, l’action sociale.

Les partenaires sociaux doivent, dans la logique de l’assurance sociale, rester pilote du futur système.

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L’UNSA a rencontré ce jour le Haut-commissaire à la réforme des retraites et a rappelé que le Haut-commissaire, comme le Président de la République, s’était engagé à conserver l’âge d’ouverture des droits à retraite à 62 ans.

Pour l’UNSA, toute remise en cause de ce principe, alors même qu’il a été acté lors de la concertation, serait un affront envers les partenaires sociaux et les Français.

En réponse, le Haut-commissaire a réaffirmé qu’il n’y aurait pas de remise en cause de l’âge légal qui resterait à 62 ans.

Pour l’UNSA, le débat est donc définitivement clos.

Non au mélange des sources de finacement !

Par ailleurs, l’UNSA s’est étonnée de voir surgir dans le débat public, l’idée de financer la dépendance par la retraite, la dépendance relevant d’un problème de santé publique.

Pour l’UNSA, les retraites, pas plus que la prise en charge de la dépendance, n’ont à gagner à la confusion. Il est plus que temps que cesse cette cacophonie.

Oui au maintien de la gestion paritiaire !

Concernant la gouvernance du futur système de retraite, objet de cette rencontre, l’UNSA a rappelé son fort attachement à une gestion paritaire intégrant l’ensemble des partenaires sociaux employeurs et salariés.

Ce mode de gestion doit permettre de définir la valeur du point, les niveaux des réserves utiles pour le système, l’action sociale.

Les partenaires sociaux doivent, dans la logique de l’assurance sociale, rester pilote du futur système.