Négociation sur les parcours professionnels, les carrières et les rémunérations : enfin ?

La ministre de la Fonction publique, Marylise Lebranchu, a annoncé le 1er juillet qu’elle ouvrirait les négociations sur les parcours professionnels, les carrières et les rémunérations début septembre. Elle assure avoir la garantie d’une enveloppe budgétaire sur le budget triennal 2015-2018. L’UNSA Fonction publique en a pris acte et appréciera au cas par cas les thèmes mis en négociation.

La ministre de la Fonction publique, Marylise Lebranchu, a annoncé le 1er juillet qu’elle ouvrirait les négociations sur les parcours professionnels, les carrières et les rémunérations début septembre 2014.

Elle assure avoir la garantie d’une enveloppe budgétaire sur le budget triennal 2015-2018. L’UNSA Fonction publique en a pris acte et appréciera au cas par cas les thèmes mis en négociation.

La minis­tre pro­pose des négo­cia­tions appro­fon­dies sur les par­cours pro­fes­sion­nels, les car­riè­res et les rému­né­ra­tions (PPCR) de sep­tem­bre 2014 à juin 2015 sur plu­sieurs thèmes :

– la ges­tion des emplois;
– l’archi­tec­ture sta­tu­taire;
– les règles de ges­tion;
– les grilles de rému­né­ra­tion.

Rappelons que cette négociation concernera l’ensemble des personnels des trois versants de la Fonction publique: État, Fonction publique territoriale, Fonction publique hospitalière.

L’UNSA Fonction publique a tenu à rap­pe­ler le contexte qui pèse sur les dis­cus­sions. Plusieurs rap­ports récents, notam­ment celui de France stra­té­gie, invi­tent à de pro­fon­des muta­tions du pays. Le gou­ver­ne­ment doit dire ce qu’il entend en rete­nir pour les ser­vi­ces publics et ses agents, sauf à mena­cer la séré­nité des échanges autour des négociations PPCR, a rappelé l’UNSA, visant expressément le récent rapport de la Cour des comptes (voir l’article Coupables obsessions comptables de la Cour des comptes).

L’UNSA Fonction publi­que a également pris acte des annon­ces de la minis­tre et sur­tout de la réponse appor­tée à sa demande de garan­tie bud­gé­taire.

Force de pro­po­si­tion, l’UNSA appré­ciera au cas par cas les sujets mis en négo­cia­tion et dans l’inté­rêt des per­son­nels et du ser­vice public. À cet égard, l’absence d’un rendez-vous sala­rial ins­crit au calen­drier est un mau­vais signal.

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La ministre de la Fonction publique, Marylise Lebranchu, a annoncé le 1er juillet qu’elle ouvrirait les négociations sur les parcours professionnels, les carrières et les rémunérations début septembre 2014.

Elle assure avoir la garantie d’une enveloppe budgétaire sur le budget triennal 2015-2018. L’UNSA Fonction publique en a pris acte et appréciera au cas par cas les thèmes mis en négociation.

La minis­tre pro­pose des négo­cia­tions appro­fon­dies sur les par­cours pro­fes­sion­nels, les car­riè­res et les rému­né­ra­tions (PPCR) de sep­tem­bre 2014 à juin 2015 sur plu­sieurs thèmes :

– la ges­tion des emplois;
– l’archi­tec­ture sta­tu­taire;
– les règles de ges­tion;
– les grilles de rému­né­ra­tion.

Rappelons que cette négociation concernera l’ensemble des personnels des trois versants de la Fonction publique: État, Fonction publique territoriale, Fonction publique hospitalière.

L’UNSA Fonction publique a tenu à rap­pe­ler le contexte qui pèse sur les dis­cus­sions. Plusieurs rap­ports récents, notam­ment celui de France stra­té­gie, invi­tent à de pro­fon­des muta­tions du pays. Le gou­ver­ne­ment doit dire ce qu’il entend en rete­nir pour les ser­vi­ces publics et ses agents, sauf à mena­cer la séré­nité des échanges autour des négociations PPCR, a rappelé l’UNSA, visant expressément le récent rapport de la Cour des comptes (voir l’article Coupables obsessions comptables de la Cour des comptes).

L’UNSA Fonction publi­que a également pris acte des annon­ces de la minis­tre et sur­tout de la réponse appor­tée à sa demande de garan­tie bud­gé­taire.

Force de pro­po­si­tion, l’UNSA appré­ciera au cas par cas les sujets mis en négo­cia­tion et dans l’inté­rêt des per­son­nels et du ser­vice public. À cet égard, l’absence d’un rendez-vous sala­rial ins­crit au calen­drier est un mau­vais signal.