L’air de rien, elle tue nos enfants : la pollution

Plus de 3 enfants sur 4 respirent un air toxique en France.

Alors que la journée mondiale de la santé a eu lieu le 7 avril, l’UNICEF publiait un rapport alarmant pour la santé de nos enfants.

Pour l’UNSA Éducation, il ne fait aucun doute qu’il faut agir dès maintenant pour « donner à chacun le pouvoir de vivre, dans un cadre commun en protégeant notre avenir et celui des générations futures »1.

Les données de ce rapport sont sans appel :

La pollution atmosphérique de nos villes dépasse largement les seuils fixés par l’Union européenne et par la règlementation française.
Seuils qui sont eux-mêmes plus élevés que les valeurs recommandées par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
L’Union européenne a donc engagé un recours judiciaire contre la France devant la Cour de justice de l’Union en mai 2018.
14 zones géographiques françaises2 sont désormais dans le collimateur de la Commission européenne comme ne respectant pas les normes européennes de qualité́ de l’air dont la pollution essentielle est due aux émissions de dioxyde d’azote liées au trafic de véhicules diesel.

Un danger réel pour nos enfants ?

Oui, car les enfants sont les premiers touchés par cette pollution du fait de l’immaturité́ de leur organisme et de la fréquence à laquelle ils respirent (une fois et demie plus élevée que celles des adultes).

Comment agir pour préserver notre santé et celle de nos enfants ?

Le rapport donne des solutions car la lutte contre la pollution de l’air passe par des actions concrètes.
Nos modes de vie urbains doivent évoluer. Mais cela ne pourra se faire sans une réelle prise de conscience et sans l’accompagnement de politiques environnementale fortes et volontaristes.

L’UNSA Éducation relaye donc la pétition de l’UNICEF qui est en ligne : « Pollution de l’air, agissons pour nos enfants ».
Car il est primordial de sensibiliser le plus grand nombre aux problématiques de santé publique liées à la qualité de l’air.
L’urgence est là, sachons en prendre la mesure.


1: « L’urgence d’un pacte social et écologique » signé par l’UNSA et qui contient « 66 propositions pour donner à chacun le pouvoir de vivre. »

2: Ile-de-France, Marseille, Nice, Toulon, Lyon, Grenoble, Saint-Etienne, Valence, vallée de l’Arve, Strasbourg, Reims, Montpellier, Toulouse, la Martinique.

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Plus de 3 enfants sur 4 respirent un air toxique en France.

Alors que la journée mondiale de la santé a eu lieu le 7 avril, l’UNICEF publiait un rapport alarmant pour la santé de nos enfants.

Pour l’UNSA Éducation, il ne fait aucun doute qu’il faut agir dès maintenant pour « donner à chacun le pouvoir de vivre, dans un cadre commun en protégeant notre avenir et celui des générations futures »1.

Les données de ce rapport sont sans appel :

La pollution atmosphérique de nos villes dépasse largement les seuils fixés par l’Union européenne et par la règlementation française.
Seuils qui sont eux-mêmes plus élevés que les valeurs recommandées par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
L’Union européenne a donc engagé un recours judiciaire contre la France devant la Cour de justice de l’Union en mai 2018.
14 zones géographiques françaises2 sont désormais dans le collimateur de la Commission européenne comme ne respectant pas les normes européennes de qualité́ de l’air dont la pollution essentielle est due aux émissions de dioxyde d’azote liées au trafic de véhicules diesel.

Un danger réel pour nos enfants ?

Oui, car les enfants sont les premiers touchés par cette pollution du fait de l’immaturité́ de leur organisme et de la fréquence à laquelle ils respirent (une fois et demie plus élevée que celles des adultes).

Comment agir pour préserver notre santé et celle de nos enfants ?

Le rapport donne des solutions car la lutte contre la pollution de l’air passe par des actions concrètes.
Nos modes de vie urbains doivent évoluer. Mais cela ne pourra se faire sans une réelle prise de conscience et sans l’accompagnement de politiques environnementale fortes et volontaristes.

L’UNSA Éducation relaye donc la pétition de l’UNICEF qui est en ligne : « Pollution de l’air, agissons pour nos enfants ».
Car il est primordial de sensibiliser le plus grand nombre aux problématiques de santé publique liées à la qualité de l’air.
L’urgence est là, sachons en prendre la mesure.


1: « L’urgence d’un pacte social et écologique » signé par l’UNSA et qui contient « 66 propositions pour donner à chacun le pouvoir de vivre. »

2: Ile-de-France, Marseille, Nice, Toulon, Lyon, Grenoble, Saint-Etienne, Valence, vallée de l’Arve, Strasbourg, Reims, Montpellier, Toulouse, la Martinique.