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Éducation : le gouvernement doit prendre la mesure de la colère

L’UNSA Éducation appelle le gouvernement à prendre très rapidement la mesure de l’état de tension et de colère des personnels de l’Éducation et à apporter les réponses nécessaires pour permettre l’application du protocole renforcé et particulièrement au sein des lycées.

Aujourd’hui la situation dans les lycées n’est plus tenable et des aménagements urgents sont indispensables pour permettre de diminuer les effectifs afin d’appliquer des mesures de distanciation et de non-brassage des élèves.
Il faut également prendre en compte les situations de certains collèges et de certaines écoles qui nécessitent des adaptations.

Dans ce contexte de crise sanitaire et de menace terroriste, l’UNSA Éducation n’appelle pas à une grève nationale le 10 novembre. Malgré les contradictions et atermoiements du ministère et toute la colère légitime que cela provoque, les équipes mettent toute leur énergie à trouver des solutions pour s’adapter Il n’est pas souhaitable de venir déstabiliser les équilibres trouvés.

L’UNSA Éducation et ses syndicats se font l’écho sans relâche de la situation insupportable dans laquelle les personnels ont été placés. Nous avons relayé nos revendications à tous les niveaux de l’exécutif mais aussi localement auprès des DASEN et des recteurs afin que les personnels soient entendus et respectés. Nous agissons sur chacune des situations qui nous sont signalées.

Ces derniers jours encore nous avons au-delà des demandes liées au respect du protocole, fait des propositions d’anticipation claires sur le baccalauréat et sur les examens, exigé que la situation des personnels vulnérables soit bien prise en compte et le télétravail privilégié dès que possible, demandé le recrutement en urgence de personnels pour faire face aux besoins croissants de remplacement et pour favoriser l’allégement des effectifs ainsi que le recrutement d’assistants d’éducation.

Nous serons présents auprès des équipes qui font face à des situations où la sécurité et la protection des personnels et des élèves ne seraient pas assurées en leur demandant de remplir des fiches du registre de santé et sécurité au travail et en les soutenant dans la grève si la situation n’est pas réglée.

A nouveau, l’UNSA Éducation appelle très solennellement le gouvernement à prendre la mesure de la colère exceptionnelle qui grandit dans la profession. Tous les personnels doivent être entendus. Nous agirons avec les autres organisations syndicales pour obtenir les avancées nécessaires sur leurs conditions de travail dans ce contexte de crise.

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L’UNSA Éducation appelle le gouvernement à prendre très rapidement la mesure de l’état de tension et de colère des personnels de l’Éducation et à apporter les réponses nécessaires pour permettre l’application du protocole renforcé et particulièrement au sein des lycées.

Aujourd’hui la situation dans les lycées n’est plus tenable et des aménagements urgents sont indispensables pour permettre de diminuer les effectifs afin d’appliquer des mesures de distanciation et de non-brassage des élèves.
Il faut également prendre en compte les situations de certains collèges et de certaines écoles qui nécessitent des adaptations.

Dans ce contexte de crise sanitaire et de menace terroriste, l’UNSA Éducation n’appelle pas à une grève nationale le 10 novembre. Malgré les contradictions et atermoiements du ministère et toute la colère légitime que cela provoque, les équipes mettent toute leur énergie à trouver des solutions pour s’adapter Il n’est pas souhaitable de venir déstabiliser les équilibres trouvés.

L’UNSA Éducation et ses syndicats se font l’écho sans relâche de la situation insupportable dans laquelle les personnels ont été placés. Nous avons relayé nos revendications à tous les niveaux de l’exécutif mais aussi localement auprès des DASEN et des recteurs afin que les personnels soient entendus et respectés. Nous agissons sur chacune des situations qui nous sont signalées.

Ces derniers jours encore nous avons au-delà des demandes liées au respect du protocole, fait des propositions d’anticipation claires sur le baccalauréat et sur les examens, exigé que la situation des personnels vulnérables soit bien prise en compte et le télétravail privilégié dès que possible, demandé le recrutement en urgence de personnels pour faire face aux besoins croissants de remplacement et pour favoriser l’allégement des effectifs ainsi que le recrutement d’assistants d’éducation.

Nous serons présents auprès des équipes qui font face à des situations où la sécurité et la protection des personnels et des élèves ne seraient pas assurées en leur demandant de remplir des fiches du registre de santé et sécurité au travail et en les soutenant dans la grève si la situation n’est pas réglée.

A nouveau, l’UNSA Éducation appelle très solennellement le gouvernement à prendre la mesure de la colère exceptionnelle qui grandit dans la profession. Tous les personnels doivent être entendus. Nous agirons avec les autres organisations syndicales pour obtenir les avancées nécessaires sur leurs conditions de travail dans ce contexte de crise.