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Ecologie: des artistes concernés

Les artistes ont leur mot à dire en écologie comme en tout ce qui traverse nos sociétés. Une exposition d’envergure réunit des artistes internationaux engagés dans le combat écologique. Ça se passe à Paris jusqu’au 31 janvier 2021, à la fondation EDF, en entrée libre.

Sans pessimisme, Courants verts, Créer pour l’environnement est une exposition qui souligne avec les œuvres présentées le processus d’adaptation que traverse aujourd’hui l’humanité́. L’exposition rappelle que l’art joue son rôle dans cette mutation liée à la transition climatique en agissant sur les imaginaires et en proposant de nouveaux récits.
Elle est organisée en trois parcours : avertir, agir, rêver.

Avertir
Avec l’urgence environnementale, l’un des premiers reflexes de l’artiste est d’avertir. L’exposition donne à voir cette position de l’artiste, celle de sentinelle et de lanceur d’alerte.
Agir
La pulsion qui consiste à avertir induit que l’on agisse, que l’on ne demeure pas inerte face à une situation devenue scandaleuse ou insoutenable.
L’art écologique, volontiers modeste dans ses entreprises, ne vise pas la grande échelle, le bouleversement, il agit volontiers localement, en interaction constante avec des scientifiques, des territoires, des habitants, des communautés.
Rêver
L’art n’est pas un moyen d’action comparable à l’engagement des militants, des associations et des entreprises. Demander à l’artiste « vert » d’être le sauveur d’un monde dont l’environnement se délite sous ses yeux est excessif. Les artistes représentés ont à cœur, non l’illusion que l’on peut sauver le monde avec des créations nées de leurs imaginaires, mais l’espoir que ces derniers soient contagieux. Ils ont pour point commun une volonté́ d’indiquer une direction et d’impulser des comportements vertueux, donnant sens à ce paradigme : « Nous avons l’art pour admettre le possible d’une autre réalité́ ».

Alors avec des œuvres protéiformes comme squelette de cétacé constellé de cristaux, mappemonde aux pays boursouflés, voiture américaine à pédale, masques d’animaux en textile, films vidéo, projets futuristes, dentelle pour sauver les coraux… toutes ont en commun de nous parler du monde, de l’état de la Terre et de l’urgence de réagir. Une autre manière de donner à réfléchir, pour stimuler toutes les  volontés d’agir, de la petite enfance à l’âge adulte.

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Les artistes ont leur mot à dire en écologie comme en tout ce qui traverse nos sociétés. Une exposition d’envergure réunit des artistes internationaux engagés dans le combat écologique. Ça se passe à Paris jusqu’au 31 janvier 2021, à la fondation EDF, en entrée libre.

Sans pessimisme, Courants verts, Créer pour l’environnement est une exposition qui souligne avec les œuvres présentées le processus d’adaptation que traverse aujourd’hui l’humanité́. L’exposition rappelle que l’art joue son rôle dans cette mutation liée à la transition climatique en agissant sur les imaginaires et en proposant de nouveaux récits.
Elle est organisée en trois parcours : avertir, agir, rêver.

Avertir
Avec l’urgence environnementale, l’un des premiers reflexes de l’artiste est d’avertir. L’exposition donne à voir cette position de l’artiste, celle de sentinelle et de lanceur d’alerte.
Agir
La pulsion qui consiste à avertir induit que l’on agisse, que l’on ne demeure pas inerte face à une situation devenue scandaleuse ou insoutenable.
L’art écologique, volontiers modeste dans ses entreprises, ne vise pas la grande échelle, le bouleversement, il agit volontiers localement, en interaction constante avec des scientifiques, des territoires, des habitants, des communautés.
Rêver
L’art n’est pas un moyen d’action comparable à l’engagement des militants, des associations et des entreprises. Demander à l’artiste « vert » d’être le sauveur d’un monde dont l’environnement se délite sous ses yeux est excessif. Les artistes représentés ont à cœur, non l’illusion que l’on peut sauver le monde avec des créations nées de leurs imaginaires, mais l’espoir que ces derniers soient contagieux. Ils ont pour point commun une volonté́ d’indiquer une direction et d’impulser des comportements vertueux, donnant sens à ce paradigme : « Nous avons l’art pour admettre le possible d’une autre réalité́ ».

Alors avec des œuvres protéiformes comme squelette de cétacé constellé de cristaux, mappemonde aux pays boursouflés, voiture américaine à pédale, masques d’animaux en textile, films vidéo, projets futuristes, dentelle pour sauver les coraux… toutes ont en commun de nous parler du monde, de l’état de la Terre et de l’urgence de réagir. Une autre manière de donner à réfléchir, pour stimuler toutes les  volontés d’agir, de la petite enfance à l’âge adulte.