Au Luxembourg le cours de religion c’est fini!

La Chambre des députés luxembourgeoise a adopté en juillet 2016 l’introduction du cours «Vie et société» qui met fin au cours de religion.

Ce changement, mis en place dès la rentrée 2016 dans le secondaire a été élargi à la rentrée 2017 à l’école élèmentaire.

Jusque cette date les élèves Luxembourgeois devaient choisir entre cours de religion et cours de morale laïque.

Une situation qui rappelle celle de l’Alsace-Moselle.

Au Luxembourg, les cours d’instruction religieuse et morale et d’éducation morale et sociale sont remplacés par le cours “Vie et société” ; »qui;réunit tous les élèves au sein d’un seul cours. » « Le but, consiste avant tout à éveiller la conscience des élèves vis-à-vis de certaines problématiques d’ordre social et de les aider à développer une opinion propre, argumentée, en se documentant, mais aussi en apprenant à se remettre en question dans un contexte d’échange et de discussion avec l’autre. « 

Nonobstant les oppositions rencontrées, les luxembourgeois nous démontrent que certaines réformes sontposibles quand le courage politique se conjugue avec la société telle qu’elle est aujourd’hui.


L’UNSA-Education ne peut que s’en féliciter.

 

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Ce changement, mis en place dès la rentrée 2016 dans le secondaire a été élargi à la rentrée 2017 à l’école élèmentaire.

Jusque cette date les élèves Luxembourgeois devaient choisir entre cours de religion et cours de morale laïque.

Une situation qui rappelle celle de l’Alsace-Moselle.

Au Luxembourg, les cours d’instruction religieuse et morale et d’éducation morale et sociale sont remplacés par le cours “Vie et société” ; »qui;réunit tous les élèves au sein d’un seul cours. » « Le but, consiste avant tout à éveiller la conscience des élèves vis-à-vis de certaines problématiques d’ordre social et de les aider à développer une opinion propre, argumentée, en se documentant, mais aussi en apprenant à se remettre en question dans un contexte d’échange et de discussion avec l’autre. « 

Nonobstant les oppositions rencontrées, les luxembourgeois nous démontrent que certaines réformes sontposibles quand le courage politique se conjugue avec la société telle qu’elle est aujourd’hui.


L’UNSA-Education ne peut que s’en féliciter.