« 08.03 » c’est le code de rassemblement mondial de lutte pour l’égalité !

Oui, le « 08.03 » c'est le code du rassemblement mondial de tous ceux qui sont persuadés que l’égalité femmes-hommes c’est pour maintenant et que les acquis bénéficient à tous car, même si les choses évoluent, en ce début de troisième millénaire, les «inégalités» ont la vie dure !

Oui, le « 08.03 » c’est le code du rassemblement mondial de tous ceux qui sont persuadés que l’égalité femmes-hommes c’est pour maintenant et que les acquis bénéficient à tous car, même si les choses évoluent, en ce début de troisième millénaire, les «inégalités» ont la vie dure !

Le « 08.03 » reste donc la journée internationale des femmes qui marque le combat restant encore à mener pour l’égalité. L’IE, le CSEE et l’UNSA Éducation s’y emploient chaque jour car le 8 mars, c’est tous les jours !

En effet, dans de trop nombreux pays européens, certaines politiques d’égalités sont abandonnées, soit en raison de réductions de budgets alloués aux services publics, soit en raison de l’action des lobbies conservateurs.

Vers un risque de régression des droits des femmes en Europe !
Pour preuve, la loi que l’Espagne a adoptée en décembre dernier. C’est l’une des législations les plus restrictives d’Europe en matière d’interruption de grossesse. Pire, elle a donné le « la » d’une dynamique européenne qui vise à remettre en cause des acquis permettant l’autonomie des femmes quant à leur maternité. De façon générale, les femmes sont davantage impactées par la crise.

Les mesures d’austérité engendrent des effets négatifs sur les droits des femmes et l’égalité des genres en Europe
En Europe, les femmes sont deux fois plus touchées par la crise. Tout d’abord elles le sont en tant que contribuable ; mères et filles doivent souvent combler les lacunes des services publics abandonnés par un travail domestique accru. Le second impact, pour elles, se mesure par une détérioration régulière de leurs conditions de travail. Dans le secteur de l’éducation, majoritairement féminin, les mesures d’austérités ont renforcé le nombre d’heures de cours et/ou de travail à réaliser, et ce, sans contrepartie financière.

L’égalité des genres, une question cruciale dans le domaine de l’éducation
En dépit des progrès déjà réalisé en matière d’éducation, plus de la moitié des enfants non scolarisés sont des filles et les 2/3 des analphabètes sont des femmes.

Oui, il reste tant à faire car nous savons tous qu’un faible niveau d’éducation des filles les maintient, lorsqu’elles sont devenues femmes, dans une situation de dépendance, les prive de développer un esprit critique et leur confisque les moyens de lutter pour faire respecter leurs droits.

Ainsi, l’IE, le CSEE et l’UNSA Éducation, en s’engageant dans le combat pour l’égalité femmes-hommes et Pour une Éducation de Qualité des filles, inscrivent parfaitement leur action dans le thème de cette journée du 8 mars 2014 qui défend que l’égalité pour les femmes, c’est le progrès pour toutes et tous !

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Oui, le « 08.03 » c’est le code du rassemblement mondial de tous ceux qui sont persuadés que l’égalité femmes-hommes c’est pour maintenant et que les acquis bénéficient à tous car, même si les choses évoluent, en ce début de troisième millénaire, les «inégalités» ont la vie dure !

Le « 08.03 » reste donc la journée internationale des femmes qui marque le combat restant encore à mener pour l’égalité. L’IE, le CSEE et l’UNSA Éducation s’y emploient chaque jour car le 8 mars, c’est tous les jours !

En effet, dans de trop nombreux pays européens, certaines politiques d’égalités sont abandonnées, soit en raison de réductions de budgets alloués aux services publics, soit en raison de l’action des lobbies conservateurs.

Vers un risque de régression des droits des femmes en Europe !
Pour preuve, la loi que l’Espagne a adoptée en décembre dernier. C’est l’une des législations les plus restrictives d’Europe en matière d’interruption de grossesse. Pire, elle a donné le « la » d’une dynamique européenne qui vise à remettre en cause des acquis permettant l’autonomie des femmes quant à leur maternité. De façon générale, les femmes sont davantage impactées par la crise.

Les mesures d’austérité engendrent des effets négatifs sur les droits des femmes et l’égalité des genres en Europe
En Europe, les femmes sont deux fois plus touchées par la crise. Tout d’abord elles le sont en tant que contribuable ; mères et filles doivent souvent combler les lacunes des services publics abandonnés par un travail domestique accru. Le second impact, pour elles, se mesure par une détérioration régulière de leurs conditions de travail. Dans le secteur de l’éducation, majoritairement féminin, les mesures d’austérités ont renforcé le nombre d’heures de cours et/ou de travail à réaliser, et ce, sans contrepartie financière.

L’égalité des genres, une question cruciale dans le domaine de l’éducation
En dépit des progrès déjà réalisé en matière d’éducation, plus de la moitié des enfants non scolarisés sont des filles et les 2/3 des analphabètes sont des femmes.

Oui, il reste tant à faire car nous savons tous qu’un faible niveau d’éducation des filles les maintient, lorsqu’elles sont devenues femmes, dans une situation de dépendance, les prive de développer un esprit critique et leur confisque les moyens de lutter pour faire respecter leurs droits.

Ainsi, l’IE, le CSEE et l’UNSA Éducation, en s’engageant dans le combat pour l’égalité femmes-hommes et Pour une Éducation de Qualité des filles, inscrivent parfaitement leur action dans le thème de cette journée du 8 mars 2014 qui défend que l’égalité pour les femmes, c’est le progrès pour toutes et tous !