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Articles nationaux

Encore une fois le FN s’agite pour distiller sa xénophobie !

Marine Le Pen a affirmé dans un entretien publié jeudi 2 février par le journal « Le Monde », son intention d'appliquer "la priorité nationale à l'emploi" en introduisant une "taxe additionnelle à tout nouveau contrat d'employé étranger". Sans s’expliquer autre mesure sur cette proposition, elle en profite pour distiller la xénophobie de la préférence nationale.

Marine Le Pen veut la fin de la gratuité de l’École des enfants étrangers.

Jeudi 8 décembre, Marine Le Pen a prôné la «fin» de la gratuité de l’école pour les enfants d’étrangers en situation irrégulière. Elle a également ajouté que pour les étrangers, elle souhaitait que «l'accès à la gratuité de l'école ne soit autorisé qu'après un délai de carence», «au cours duquel, s'ils travaillent, ils auront cotisé». L’UNSA Éducation s’indigne de telles déclarations contraires à la Déclaration universelle des Droits de l'Homme et à la Convention internationale relative aux Droits de l'Enfant et également au droit français !

Mais que ferait le Front nationalsans l’immigration?

« L'idée d'accueillir de manière inconséquente des milliers de ‪#migrants pour laisser des SDF français dans la rue me révulse ! » C’est ce que nous pouvons lire sur le compte Twitter de Marine Le Pen suite à une interview lors de l’émission RTL matin le 16 janvier. Ces dernières semaines les membres du Front national ont à nouveau multiplié les caricatures, fausses déclarations et mensonges sur les migrants et proposer ainsi des mesures anticonstitutionnelles ou illégales

Marine Le Pen veut la fin de la gratuité de l’École des enfants étrangers.

Jeudi 8 décembre, Marine Le Pen a prôné la «fin» de la gratuité de l’école pour les enfants d’étrangers en situation irrégulière. Elle a également ajouté que pour les étrangers, elle souhaitait que «l'accès à la gratuité de l'école ne soit autorisé qu'après un délai de carence», «au cours duquel, s'ils travaillent, ils auront cotisé». L’UNSA Éducation s’indigne de telles déclarations contraires à la Déclaration universelle des Droits de l'Homme et à la Convention internationale relative aux Droits de l'Enfant et également au droit français !