Encore une fois le FN s’agite pour distiller sa xénophobie !

Marine Le Pen a affirmé dans un entretien publié jeudi 2 février par le journal « Le Monde », son intention d'appliquer "la priorité nationale à l'emploi" en introduisant une "taxe additionnelle à tout nouveau contrat d'employé étranger". Sans s’expliquer autre mesure sur cette proposition, elle en profite pour distiller la xénophobie de la préférence nationale.

Marine Le Pen a affirmé dans un entretien publié jeudi 2 février par le journal « Le Monde », son intention d’appliquer « la priorité nationale à l’emploi » en introduisant une « taxe additionnelle à tout nouveau contrat d’employé étranger ».

Sans s’expliquer autre mesure sur cette proposition, elle en profite pour distiller la xénophobie de la préférence nationale.

Concernant l’Union européenne en l’état actuel du droit, ceci est impossible à mettre en œuvre : cela impliquerait de dénoncer les traités européens signés et également une sortie de l’Union européenne.

Évidemment, Marine Le Pen le porte dans son programme puisqu’elle souhaite organiser un referendum sur ce sujet.

Ce n’est néanmoins pas si simple : le gouvernement britannique qui a annoncé en janvier vouloir mettre en place une mesure similaire se heurte à de nombreuses critiques et doit faire face à de nombreuses difficultés légales malgré le vote du brexit !

Concernant les salariés hors UE, Marine Le Pen enfonce une porte ouverte puisque des taxes existent délà !

Les contrats de travail sont très encadrés et comme le stipule « le code d’entrée et de séjour des étrangers et du droit d’asile » pour recruter un employé étranger, un chef d’entreprise doit certes obtenir une autorisation de travail mais également s’acquitter de taxes spéciales auprès de l’Office français de l’Immigration et de l’Intégration.

Un peu plus loin dans l’entretien accordé au journal «Le Monde », Marine Le Pen précise que les recettes de cette taxe seraient « versées à l’indemnisation des chômeurs »…

Nous nous devons de rappeler à Mme Le Pen que l’indemnisation des demandeurs d’emploi relève des partenaires sociaux et non de l’État !

Marine Le Pen souhaite donc « sauver l’économie » avec des mesures inapplicables ou d’autres qui existent déja!

Ce n’est donc pas une simple mesure de taxations des contrats de travail que nous présente Marine Le Pen mais bien un plan global contre nos valeurs républicaines !

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Marine Le Pen a affirmé dans un entretien publié jeudi 2 février par le journal « Le Monde », son intention d’appliquer « la priorité nationale à l’emploi » en introduisant une « taxe additionnelle à tout nouveau contrat d’employé étranger ».

Sans s’expliquer autre mesure sur cette proposition, elle en profite pour distiller la xénophobie de la préférence nationale.

Concernant l’Union européenne en l’état actuel du droit, ceci est impossible à mettre en œuvre : cela impliquerait de dénoncer les traités européens signés et également une sortie de l’Union européenne.

Évidemment, Marine Le Pen le porte dans son programme puisqu’elle souhaite organiser un referendum sur ce sujet.

Ce n’est néanmoins pas si simple : le gouvernement britannique qui a annoncé en janvier vouloir mettre en place une mesure similaire se heurte à de nombreuses critiques et doit faire face à de nombreuses difficultés légales malgré le vote du brexit !

Concernant les salariés hors UE, Marine Le Pen enfonce une porte ouverte puisque des taxes existent délà !

Les contrats de travail sont très encadrés et comme le stipule « le code d’entrée et de séjour des étrangers et du droit d’asile » pour recruter un employé étranger, un chef d’entreprise doit certes obtenir une autorisation de travail mais également s’acquitter de taxes spéciales auprès de l’Office français de l’Immigration et de l’Intégration.

Un peu plus loin dans l’entretien accordé au journal «Le Monde », Marine Le Pen précise que les recettes de cette taxe seraient « versées à l’indemnisation des chômeurs »…

Nous nous devons de rappeler à Mme Le Pen que l’indemnisation des demandeurs d’emploi relève des partenaires sociaux et non de l’État !

Marine Le Pen souhaite donc « sauver l’économie » avec des mesures inapplicables ou d’autres qui existent déja!

Ce n’est donc pas une simple mesure de taxations des contrats de travail que nous présente Marine Le Pen mais bien un plan global contre nos valeurs républicaines !