Qualité de vie au travail : rien pour les personnels

La négociation sur la qualité de vie au travail (QVT) devait aboutir à la signature de l'accord par les organisations syndicales.

La négociation sur la qualité de vie au travail (QVT) devait aboutir à la signature de l’accord par les organisations syndicales. 


« L’UNSA dénonce la posture de blocage de la CGT, FO, Solidaires et FSU qui pénalise les personnels des trois versants de la fonction publique.
Toutes ces organisations ont reconnu le 8 janvier les avancées contenues dans le projet d’accord sur la qualité de vie au travail mais finalement ont décidé d’opter pour une attitude politicienne contre le gouvernement et donc de ne pas signer l’accord.
Du coup faute de signatures suffisantes l’accord n’est pas valide et les mesures prévues ne seront pas appliquées. Pour l’UNSA c’est regrettable, ce sont les personnels qui en font les frais.


Améliorer la qua­lité de vie au tra­vail et le contenu du tra­vail des agents c’est contri­buer à amé­lio­rer la santé des agents et l’effi­ca­cité du ser­vice public. Pour l’UNSA, c’est bien la démar­che pré­ven­tive qui peut agir sur les déter­mi­nants des ris­ques pro­fes­sion­nels qui conti­nuent à peser sur la santé des agents.

Des enjeux impor­tants pour les per­son­nels étaient conte­nus dans ce projet d’accord avec notam­ment la prise en compte de l’ensem­ble des éléments qui influent sur le cadre de tra­vail, la marge d’auto­no­mie et de res­pon­sa­bi­li­sa­tion qui doit en décou­ler, la conci­lia­tion temps per­son­nel-temps pro­fes­sion­nel.

Le bureau natio­nal de l’UNSA Fonction publi­que, una­nime, a donné mandat à son Secrétaire géné­ral pour signer cet accord qui s’ins­crit dans la suite logi­que des accords que l’UNSA a déjà signé dans ce domaine : l’accord santé au tra­vail de 2009, l’accord sur la pré­ven­tion des ris­ques psycho sociaux, l’accord égalité pro­fes­sion­nelle femmes/hommes.

L’UNSA n’hésite pas à condam­ner l’absence de poli­ti­que sala­riale dans la fonc­tion publi­que, le gel du point d’indice. L’UNSA sou­tient les actions sec­to­riel­les concer­nant l’emploi.
Pour autant, l’UNSA pré­fère engran­ger toute mesure béné­fi­que aux per­son­nels plutôt que d’entrer dans une logi­que du tout ou rien. »

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La négociation sur la qualité de vie au travail (QVT) devait aboutir à la signature de l’accord par les organisations syndicales. 


« L’UNSA dénonce la posture de blocage de la CGT, FO, Solidaires et FSU qui pénalise les personnels des trois versants de la fonction publique.
Toutes ces organisations ont reconnu le 8 janvier les avancées contenues dans le projet d’accord sur la qualité de vie au travail mais finalement ont décidé d’opter pour une attitude politicienne contre le gouvernement et donc de ne pas signer l’accord.
Du coup faute de signatures suffisantes l’accord n’est pas valide et les mesures prévues ne seront pas appliquées. Pour l’UNSA c’est regrettable, ce sont les personnels qui en font les frais.


Améliorer la qua­lité de vie au tra­vail et le contenu du tra­vail des agents c’est contri­buer à amé­lio­rer la santé des agents et l’effi­ca­cité du ser­vice public. Pour l’UNSA, c’est bien la démar­che pré­ven­tive qui peut agir sur les déter­mi­nants des ris­ques pro­fes­sion­nels qui conti­nuent à peser sur la santé des agents.

Des enjeux impor­tants pour les per­son­nels étaient conte­nus dans ce projet d’accord avec notam­ment la prise en compte de l’ensem­ble des éléments qui influent sur le cadre de tra­vail, la marge d’auto­no­mie et de res­pon­sa­bi­li­sa­tion qui doit en décou­ler, la conci­lia­tion temps per­son­nel-temps pro­fes­sion­nel.

Le bureau natio­nal de l’UNSA Fonction publi­que, una­nime, a donné mandat à son Secrétaire géné­ral pour signer cet accord qui s’ins­crit dans la suite logi­que des accords que l’UNSA a déjà signé dans ce domaine : l’accord santé au tra­vail de 2009, l’accord sur la pré­ven­tion des ris­ques psycho sociaux, l’accord égalité pro­fes­sion­nelle femmes/hommes.

L’UNSA n’hésite pas à condam­ner l’absence de poli­ti­que sala­riale dans la fonc­tion publi­que, le gel du point d’indice. L’UNSA sou­tient les actions sec­to­riel­les concer­nant l’emploi.
Pour autant, l’UNSA pré­fère engran­ger toute mesure béné­fi­que aux per­son­nels plutôt que d’entrer dans une logi­que du tout ou rien. »