Parité femmes-hommes : l’écart entre les genres se creuse !

L’Unsa Éducation ne cesse de le répéter, l’égalité entre les femmes et les hommes doit être une priorité.

Or, pour la première fois depuis dix ans, les inégalités de genre dans le monde se creusent.

Les constats du dernier rapport du Forum économique mondial sur la parité femmes-hommes sont sans appel : 2017 est une année de recul en termes d’égalité.

De quoi parle-t-on exactement ?

L’écart entre les genres est la différence entre les hommes et les femmes dans les réalisations ou les attitudes sociales, politiques, intellectuelles, culturelles ou économiques.»

Que dit exactement le rapport annuel ?

Cette étude a analysé les inégalités entre les sexes dans 144 pays et dans quatre grands domaines : le travail, l’éducation, la santé et la politique.

Dans le domaine de l’emploi, le fossé s’est creusé rejoignant le niveau de 2008.

Il faudra désormais attendre 217 ans pour prétendre à l’égalité professionnelle contre 170 l’année dernière.

Mais ce n’est pas tout.

Les inégalités les plus persistantes et écrasantes restent dans la participation à la vie politique et économique.

Les pays nordiques, comme l’Islande (classé premier), réussissent les mieux à diminuer ces inégalités grâce à un véritable partage du pouvoir permettant une dynamique favorable à l’égalité des sexes.

A contrario, certains pays voient leur situation s’aggraver de façon alarmante : Le Pakistan, le Yémen, l’Iran, l’Arabie Saoudite et la Syrie sont parmi les dix derniers du classement.

Pourtant, les études qui prouvent qu’une plus grande égalité entre les genres apporterait de meilleures performances économiques sont nombreuses ( voir notre article sur le sujet : On a tout à gagner à l’égalité femmes-hommes).

Mais pour cela il faut «surmonter les préjugés, invisibles ou non, qui nous empêchent de réduire l’écart entre les sexes » et en faire «un impératif écrasant, aussi bien économiquement que moralement.» comme le préconise le Professeur Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial.

C’est pourquoi, l’apprentissage de l’égalité entre les filles et les garçons est au cœur des priorités de l’Unsa Éducation. Ce n’est qu’à cette condition que disparaîtront progressivement les stéréotypes de sexes d’un autre temps malheureusement encore bien trop d’actualité.

Sélectionnés pour vous
+ d’actualités nationales

L’Unsa Éducation ne cesse de le répéter, l’égalité entre les femmes et les hommes doit être une priorité.

Or, pour la première fois depuis dix ans, les inégalités de genre dans le monde se creusent.

Les constats du dernier rapport du Forum économique mondial sur la parité femmes-hommes sont sans appel : 2017 est une année de recul en termes d’égalité.

De quoi parle-t-on exactement ?

L’écart entre les genres est la différence entre les hommes et les femmes dans les réalisations ou les attitudes sociales, politiques, intellectuelles, culturelles ou économiques.»

Que dit exactement le rapport annuel ?

Cette étude a analysé les inégalités entre les sexes dans 144 pays et dans quatre grands domaines : le travail, l’éducation, la santé et la politique.

Dans le domaine de l’emploi, le fossé s’est creusé rejoignant le niveau de 2008.

Il faudra désormais attendre 217 ans pour prétendre à l’égalité professionnelle contre 170 l’année dernière.

Mais ce n’est pas tout.

Les inégalités les plus persistantes et écrasantes restent dans la participation à la vie politique et économique.

Les pays nordiques, comme l’Islande (classé premier), réussissent les mieux à diminuer ces inégalités grâce à un véritable partage du pouvoir permettant une dynamique favorable à l’égalité des sexes.

A contrario, certains pays voient leur situation s’aggraver de façon alarmante : Le Pakistan, le Yémen, l’Iran, l’Arabie Saoudite et la Syrie sont parmi les dix derniers du classement.

Pourtant, les études qui prouvent qu’une plus grande égalité entre les genres apporterait de meilleures performances économiques sont nombreuses ( voir notre article sur le sujet : On a tout à gagner à l’égalité femmes-hommes).

Mais pour cela il faut «surmonter les préjugés, invisibles ou non, qui nous empêchent de réduire l’écart entre les sexes » et en faire «un impératif écrasant, aussi bien économiquement que moralement.» comme le préconise le Professeur Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial.

C’est pourquoi, l’apprentissage de l’égalité entre les filles et les garçons est au cœur des priorités de l’Unsa Éducation. Ce n’est qu’à cette condition que disparaîtront progressivement les stéréotypes de sexes d’un autre temps malheureusement encore bien trop d’actualité.