#BringBackOurGirls, le hashtag qui secoue le monde et que l’IE utilise pour réveiller l’OIT et l’UNESCO

L’Internationale de l’Éducation (IE) réveille l’OIT et l’UNESCO pour la sécurité des enseignants et des élèves qui travaillent ou sont scolarisés dans des zones d’insurrection. L’UNSA Éducation s’associe à son action car elle-même est porteuse de valeurs qui combattent les obscurantismes et prône les vertus d’une éducation où l’équité, l’inclusion et le vivre ensemble sont respectés afin que tout individu puisse devenir un adulte autonome, éclairé et acteur de transformation de la société où il vit.

Parce qu’elles étaient scolarisées dans une école proposant une éducation non coranique, 200 collégiennes sont raptées par un groupe d’extrémistes islamistes opposés à l’éducation dite à l’occidentale. Partit des familles de victimes, le hashtag #BringBackOurGirls est retweeté plus de 2 millions de fois et secoue le monde. La liste des victimes ne s’arrête pas là.

Le tableau est lourd et les compteurs de l’horreur continuent de grimper
Depuis 2009, ce sont également près de 200 autres rapts, séquestrations et assassinats qui ont été perpétrés contre des enseignantes, des enseignants et leurs épouses ainsi que leurs enfants. L’ensemble de ces exactions et crimes a été commis dans les écoles nigérianes des États de Borno, Yobe et Adamaxa.

Devant ces violences contre les enseignantes et enseignants nigérians. Devant cette attaque systématique des valeurs que portent l’école et pour que ces actes soient jugés, l’IE réveille l’OIT et l’UNESCO afin qu’ils réclament une action urgente auprès des autorités nigérianes et que des mesures soient prises pour assurer la sécurité des enseignants et des élèves qui travaillent ou qui sont scolarisés dans des zones ou sévit l’insurrection. cf article de l’IE ici
 

Le message des extrémistes est multiple – Si séquestrer des jeunes filles vise à les maintenir dans une tradition qui prône l’obscurantisme et à effrayer les familles pour qu’elles les retiennent à la maison, les privant ainsi d’école, tuer les enseignants, rapter leurs enfants ou séquestrer leurs épouses, revient à s’attaquer aux symboles attachés à l’éducation dite occidentale.
C’est également tenter –par la terreur– de ruiner la vision humaniste que
l’OIT et l’UNESCO ont de l’éducation. Enfin, c’est vouloir réduire l’individu à devenir un simple serviteur d’une idéologie.

#BringBackOurGirls devra se transformer en un #GirlsComeBackToYourSchoolEn ce sens, l’IE et l’UNSA Éducation s’unissent pour affirmer que l’éducation possède, entre autre vertus, celle de permettre à chaque enfant de devenir un acteur de la transformation des sociétés où il vit ; de devenir un adulte autonome et éclairé ; d’apprendre à vivre ensemble, dans le respect de toutes les différences.

Enfin, l’UNSA Éducation rejoint l’IE pour affirmer que l’éducation est le meilleur moyen pour combattre les extrémismes, combat que l’UNSA Éducation mène d’ailleurs elle-même sur le front national.

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L’Internationale de l’Éducation (IE) réveille l’OIT et l’UNESCO pour la sécurité des enseignants et des élèves qui travaillent ou sont scolarisés dans des zones d’insurrection. L’UNSA Éducation s’associe à son action car elle-même est porteuse de valeurs qui combattent les obscurantismes et prône les vertus d’une éducation où l’équité, l’inclusion et le vivre ensemble sont respectés afin que tout individu puisse devenir un adulte autonome, éclairé et acteur de transformation de la société où il vit.

Parce qu’elles étaient scolarisées dans une école proposant une éducation non coranique, 200 collégiennes sont raptées par un groupe d’extrémistes islamistes opposés à l’éducation dite à l’occidentale. Partit des familles de victimes, le hashtag #BringBackOurGirls est retweeté plus de 2 millions de fois et secoue le monde. La liste des victimes ne s’arrête pas là.

Le tableau est lourd et les compteurs de l’horreur continuent de grimper
Depuis 2009, ce sont également près de 200 autres rapts, séquestrations et assassinats qui ont été perpétrés contre des enseignantes, des enseignants et leurs épouses ainsi que leurs enfants. L’ensemble de ces exactions et crimes a été commis dans les écoles nigérianes des États de Borno, Yobe et Adamaxa.

Devant ces violences contre les enseignantes et enseignants nigérians. Devant cette attaque systématique des valeurs que portent l’école et pour que ces actes soient jugés, l’IE réveille l’OIT et l’UNESCO afin qu’ils réclament une action urgente auprès des autorités nigérianes et que des mesures soient prises pour assurer la sécurité des enseignants et des élèves qui travaillent ou qui sont scolarisés dans des zones ou sévit l’insurrection. cf article de l’IE ici
 

Le message des extrémistes est multiple – Si séquestrer des jeunes filles vise à les maintenir dans une tradition qui prône l’obscurantisme et à effrayer les familles pour qu’elles les retiennent à la maison, les privant ainsi d’école, tuer les enseignants, rapter leurs enfants ou séquestrer leurs épouses, revient à s’attaquer aux symboles attachés à l’éducation dite occidentale.
C’est également tenter –par la terreur– de ruiner la vision humaniste que
l’OIT et l’UNESCO ont de l’éducation. Enfin, c’est vouloir réduire l’individu à devenir un simple serviteur d’une idéologie.

#BringBackOurGirls devra se transformer en un #GirlsComeBackToYourSchoolEn ce sens, l’IE et l’UNSA Éducation s’unissent pour affirmer que l’éducation possède, entre autre vertus, celle de permettre à chaque enfant de devenir un acteur de la transformation des sociétés où il vit ; de devenir un adulte autonome et éclairé ; d’apprendre à vivre ensemble, dans le respect de toutes les différences.

Enfin, l’UNSA Éducation rejoint l’IE pour affirmer que l’éducation est le meilleur moyen pour combattre les extrémismes, combat que l’UNSA Éducation mène d’ailleurs elle-même sur le front national.