Montpellier, carte des formations professionnelles 2021 (CTA du 12/01/2021)

L’UNSA Education a voté contre le projet de carte des formations (consultable ICI) présenté par la rectrice lors du CTA du 12 janvier 2021. L’absence de transparence est à l’origine de ce vote négatif. Le rectorat demande un avis sur un projet ficelé déjà discuté avec la région et sur lequel plus rien ne peut évoluer. Il s’agit en réalité d’accorder « à l’aveugle » sa confiance au projet rectoral.

Demander un vote c’est demander un engagement. L’UNSA Education ne remet pas en question le projet présenté car les alternatives possibles n’ont pas été exposées. Elles existent pourtant puisque d’autres propositions avaient été émises. Le refus de donner des explications sur la carte des formations par apprentissage est incompréhensible car on le sait, les deux cartes sont liées.

Par ailleurs, les arguments pour ne pas aller au-delà des propositions ne nous ont pas convaincus. Des moyens avaient été dégagés pour améliorer l’offre de formation à la rentrée 2020 (conséquence des réussites plus nombreuses au BAC). Ces moyens sont repris par le rectorat et ne sont pas réutilisés ! L’UNSA Education a revendiqué qu’une partie soit utilisée pour financer d’autres ouvertures de formation.

L’an dernier l’UNSA Education avait réclamé qu’un groupe de travail soit réuni en amont du CTA cela n’a pas été le cas, le GT réuni mercredi n’était qu’informatif (compte rendu syndical détaillé ICI) plus rien ne peut évoluer.

L’implantation d’un parcours préparatoire au professorat des école (Lycée Luçat, Perpignan) est une première (+ d’info). Elargir les base du recrutement des PE a du sens mais la voie choisie interroge car elle brouille la lecture de l’accès à ce corps et, par ailleurs, arrive en concurrence avec les voies existantes. Enfin le modèle classe prépa suscitera-t-il l’envie de s’inscrire chez les jeunes bacheliers ?

L’UNSA Education a voté contre le projet de carte des formations (consultable ICI) présenté par la rectrice lors du CTA du 12 janvier 2021. L’absence de transparence est à l’origine de ce vote négatif. Le rectorat demande un avis sur un projet ficelé déjà discuté avec la région et sur lequel plus rien ne peut évoluer. Il s’agit en réalité d’accorder « à l’aveugle » sa confiance au projet rectoral.

Demander un vote c’est demander un engagement. L’UNSA Education ne remet pas en question le projet présenté car les alternatives possibles n’ont pas été exposées. Elles existent pourtant puisque d’autres propositions avaient été émises. Le refus de donner des explications sur la carte des formations par apprentissage est incompréhensible car on le sait, les deux cartes sont liées.

Par ailleurs, les arguments pour ne pas aller au-delà des propositions ne nous ont pas convaincus. Des moyens avaient été dégagés pour améliorer l’offre de formation à la rentrée 2020 (conséquence des réussites plus nombreuses au BAC). Ces moyens sont repris par le rectorat et ne sont pas réutilisés ! L’UNSA Education a revendiqué qu’une partie soit utilisée pour financer d’autres ouvertures de formation.

L’an dernier l’UNSA Education avait réclamé qu’un groupe de travail soit réuni en amont du CTA cela n’a pas été le cas, le GT réuni mercredi n’était qu’informatif (compte rendu syndical détaillé ICI) plus rien ne peut évoluer.

L’implantation d’un parcours préparatoire au professorat des école (Lycée Luçat, Perpignan) est une première (+ d’info). Elargir les base du recrutement des PE a du sens mais la voie choisie interroge car elle brouille la lecture de l’accès à ce corps et, par ailleurs, arrive en concurrence avec les voies existantes. Enfin le modèle classe prépa suscitera-t-il l’envie de s’inscrire chez les jeunes bacheliers ?