L’ « antirépublicanisme » utilisé pour exclure les enfants de la cantine.

À compter du 1er janvier les repas de substitution à la viande de porc ne seront plus servis au sein des cantines scolaires de la ville de Beaucaire car le maire FN les considère « antirépublicains » !

L’UNSA Éducation le répète : l’école de la République est l’école de tous les élèves !

En conséquence, les restaurants scolaires doivent proposer une diversité de menus afin que les élèves puissent se restaurer à leur faim et de façon équilibrée quels que soient leur culture et… leur goût !

La diversité des menus n’est juridiquement pas contraignante ni le service public facultatif. Si la restauration scolaire reste, quant à sa mise en œuvre, à la discrétion des communes, l’UNSA Éducation rappelle que le tribunal administratif de Dijon avait annulé, le 28 août 2017, la décision de la ville de Chalon-sur-Saône de ne plus proposer de menu de substitution dans les cantines scolaires estimant que « cette décision n’avait pas accordé, au sens de la convention internationale relative aux droits de l’enfant, une attention primordiale à l’intérêt des enfants ».

En outre, le tribunal administratif de Besançon a le 7 décembre dernier, annulé la décision de la ville de Besançon qui refusait d’inscrire des enfants à la cantine.

Encore une fois l’UNSA Éducation rappelle que proposer une diversité de plats ne contrevient en rien au prinicpe de laïcité!

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À compter du 1er janvier les repas de substitution à la viande de porc ne seront plus servis au sein des cantines scolaires de la ville de Beaucaire car le maire FN les considère « antirépublicains » !

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En conséquence, les restaurants scolaires doivent proposer une diversité de menus afin que les élèves puissent se restaurer à leur faim et de façon équilibrée quels que soient leur culture et… leur goût !

La diversité des menus n’est juridiquement pas contraignante ni le service public facultatif. Si la restauration scolaire reste, quant à sa mise en œuvre, à la discrétion des communes, l’UNSA Éducation rappelle que le tribunal administratif de Dijon avait annulé, le 28 août 2017, la décision de la ville de Chalon-sur-Saône de ne plus proposer de menu de substitution dans les cantines scolaires estimant que « cette décision n’avait pas accordé, au sens de la convention internationale relative aux droits de l’enfant, une attention primordiale à l’intérêt des enfants ».

En outre, le tribunal administratif de Besançon a le 7 décembre dernier, annulé la décision de la ville de Besançon qui refusait d’inscrire des enfants à la cantine.

Encore une fois l’UNSA Éducation rappelle que proposer une diversité de plats ne contrevient en rien au prinicpe de laïcité!