Inégalités salariales : de la parole aux actes avec l’UNSA

L’Unsa Éducation ne cesse de le répéter, l’égalité entre les femmes et les hommes doit être une priorité.

Or, ce samedi 3 novembre 2018 se tenait la journée européenne de l’égalité salariale et les faits sont là :
Une Européenne gagne en moyenne 16 % de moins que son homologue masculin* (Chiffres d’Eurostat de 2018).
Ainsi, on peut considérer qu’à partir du 3 novembre, l’année étant écoulée à 84%, les Européennes travaillent symboliquement « pour rien ».
En France, la situation n’est guère meilleure.
En effet, à compter du 6 novembre 15h35, Mesdames, vous travaillez vous aussi pour «des prunes» …

Dans la fonction publique, les femmes ne sont pas épargnées par les inégalités salariales et beaucoup reste à faire : voir notre article sur le sujet.

Dans cette perspective, l’UNSA Fonction Publique, dans la phase de négociation autour d’un nouveau protocole sur l’égalité professionnelle dans la fonction publique, a porté jusqu’au bout ses propositions.
Elle s’est achevée le 24 octobre 2018 avec la prise en compte de nombreuses de nos revendications : voir l’article sur le site de l’UNSA.

L’égalité professionnelle femmes – hommes est bien au cœur des valeurs de notre fédération et toutes les actions concrètes mises en place pour changer la donne, comme ces avancées, sont une excellente nouvelle.

Mais cela passe également par un apprentissage de l’égalité entre les filles et les garçons dès le plus jeune âge. C’est à cette seule condition qu’on fera disparaître progressivement les stéréotypes de sexe malheureusement encore bien trop d’actualité.

Pour aller plus loin : l’association «les Glorieuses» propose : 3 outils
– un sondage en partenariat avec Ifop et Mad&Women,
– une plateforme pour que les femmes puissent calculer le manque à gagner si elles faisaient partie du sexe opposé.
– une pétition pour exiger des mesures de la part du gouvernement.

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L’Unsa Éducation ne cesse de le répéter, l’égalité entre les femmes et les hommes doit être une priorité.

Or, ce samedi 3 novembre 2018 se tenait la journée européenne de l’égalité salariale et les faits sont là :
Une Européenne gagne en moyenne 16 % de moins que son homologue masculin* (Chiffres d’Eurostat de 2018).
Ainsi, on peut considérer qu’à partir du 3 novembre, l’année étant écoulée à 84%, les Européennes travaillent symboliquement « pour rien ».
En France, la situation n’est guère meilleure.
En effet, à compter du 6 novembre 15h35, Mesdames, vous travaillez vous aussi pour «des prunes» …

Dans la fonction publique, les femmes ne sont pas épargnées par les inégalités salariales et beaucoup reste à faire : voir notre article sur le sujet.

Dans cette perspective, l’UNSA Fonction Publique, dans la phase de négociation autour d’un nouveau protocole sur l’égalité professionnelle dans la fonction publique, a porté jusqu’au bout ses propositions.
Elle s’est achevée le 24 octobre 2018 avec la prise en compte de nombreuses de nos revendications : voir l’article sur le site de l’UNSA.

L’égalité professionnelle femmes – hommes est bien au cœur des valeurs de notre fédération et toutes les actions concrètes mises en place pour changer la donne, comme ces avancées, sont une excellente nouvelle.

Mais cela passe également par un apprentissage de l’égalité entre les filles et les garçons dès le plus jeune âge. C’est à cette seule condition qu’on fera disparaître progressivement les stéréotypes de sexe malheureusement encore bien trop d’actualité.

Pour aller plus loin : l’association «les Glorieuses» propose : 3 outils
– un sondage en partenariat avec Ifop et Mad&Women,
– une plateforme pour que les femmes puissent calculer le manque à gagner si elles faisaient partie du sexe opposé.
– une pétition pour exiger des mesures de la part du gouvernement.