Montpellier, application du protocole.

En CTA, l’UNSA Education a particulièrement insité sur deux aspects de l’application du protocole sanitaire. Le brassage et les conséquences du port du masque.

Brassage.

Une circulaire lycée a été nécessaire pour éviter un trop grand brassage dans les lycée, le protocole était donc inapplicable en l’état !  Certains collèges sont aussi en difficulté, ils doivent bénéficier des mêmes conditions d’adaptation que les lycées.

Les chefs d’établissement, leurs adjoints gestionnaire et plus généralement tous les personnels ont pourtant bien identifié l’impossibilité de conjuguer, la taille et le bâtimentaire de certains établissements, le nombre des élèves accueillis et le confinement avec la poursuite d’un accueil et d’un enseignement permament à la totalité des élèves. Dans un premier temps, les réponses apportées aux lycées étaient incompréhensibles car inexplicables. L’UNSA Education Montpellier a donc présenté un avis en CHSCT A mercredi dernier pour que les refus opposés aux demande de mise en place d’un enseignement à distance soient motivés.

Il faut aujourd’hui permettre que les collèges bénéficient d’une étude de leur situation.  L’UNSA Education demande à la rectrice si elle va appliquer le protocole sanitaire et étudier les demandes issues de collèges. Si les refus ne sont pas motivés, alors l’UNSA Education considère que les personnels sont délibérement mis en danger.

La rectrice indique qu’un guide de mise en oeuvre de la continuité pédagogique est transmis aux lycées. A ce jour, 80 % des lycées fonctionnent en mode hybride, chaque établissement met en place une organisation adaptée à sa situation. Si les demandes ont déjà été validées par les DASEN, elles seront suivies par la cellule de continuité pédagogique. Pour les autres structures, collèges et école, la rectrice rappelle que le présentiel est préférable au vu de l’autonomie moindre des élèves, de l’organisation plus simple et de la contagions moindre. Elle ne s’oppose pas définitivement, des demandes peuvent êtres faites, mais nous constatons que cette option n’est absolument pas envisagée. L’UNSA Education iniste en séance sur les difficultées rencontrées dans certains collèges de l’académie où, par exemple, le nombre de demi pensionnaires est supérieur à la norme de construction de l’établissement.

Masques.

Dans les écoles de l’académie, selon les départements les directeurs ne reçoivent pas la même réponse à une question simple : quelles mesures prendre lorsque des familles refusent que leur enfant porte un masque en classe élémentaire ?

Des situations conflictuelles voient le jour entre parents et avec l’école. Les directeurs doivent être accompagnés pour une application stricte du protocole. A cet égard, si l’écriture de circulaire par les DASEN est bienvenue, l’UNSA Education considère quelle ne pose pas l’obligation formelle du port du masque. Une fois de plus le « dans toute la mesure du possible » dessert les personnels. Pour l’UNSA Education, la lettre du protocole doit s’appliquer.

 

CTA : l’Unsa éducation interpelle la rectrice

En CTA, l’UNSA Education a particulièrement insité sur deux aspects de l’application du protocole sanitaire. Le brassage et les conséquences du port du masque.

Brassage.

Une circulaire lycée a été nécessaire pour éviter un trop grand brassage dans les lycée, le protocole était donc inapplicable en l’état !  Certains collèges sont aussi en difficulté, ils doivent bénéficier des mêmes conditions d’adaptation que les lycées.

Les chefs d’établissement, leurs adjoints gestionnaire et plus généralement tous les personnels ont pourtant bien identifié l’impossibilité de conjuguer, la taille et le bâtimentaire de certains établissements, le nombre des élèves accueillis et le confinement avec la poursuite d’un accueil et d’un enseignement permament à la totalité des élèves. Dans un premier temps, les réponses apportées aux lycées étaient incompréhensibles car inexplicables. L’UNSA Education Montpellier a donc présenté un avis en CHSCT A mercredi dernier pour que les refus opposés aux demande de mise en place d’un enseignement à distance soient motivés.

Il faut aujourd’hui permettre que les collèges bénéficient d’une étude de leur situation.  L’UNSA Education demande à la rectrice si elle va appliquer le protocole sanitaire et étudier les demandes issues de collèges. Si les refus ne sont pas motivés, alors l’UNSA Education considère que les personnels sont délibérement mis en danger.

La rectrice indique qu’un guide de mise en oeuvre de la continuité pédagogique est transmis aux lycées. A ce jour, 80 % des lycées fonctionnent en mode hybride, chaque établissement met en place une organisation adaptée à sa situation. Si les demandes ont déjà été validées par les DASEN, elles seront suivies par la cellule de continuité pédagogique. Pour les autres structures, collèges et école, la rectrice rappelle que le présentiel est préférable au vu de l’autonomie moindre des élèves, de l’organisation plus simple et de la contagions moindre. Elle ne s’oppose pas définitivement, des demandes peuvent êtres faites, mais nous constatons que cette option n’est absolument pas envisagée. L’UNSA Education iniste en séance sur les difficultées rencontrées dans certains collèges de l’académie où, par exemple, le nombre de demi pensionnaires est supérieur à la norme de construction de l’établissement.

Masques.

Dans les écoles de l’académie, selon les départements les directeurs ne reçoivent pas la même réponse à une question simple : quelles mesures prendre lorsque des familles refusent que leur enfant porte un masque en classe élémentaire ?

Des situations conflictuelles voient le jour entre parents et avec l’école. Les directeurs doivent être accompagnés pour une application stricte du protocole. A cet égard, si l’écriture de circulaire par les DASEN est bienvenue, l’UNSA Education considère quelle ne pose pas l’obligation formelle du port du masque. Une fois de plus le « dans toute la mesure du possible » dessert les personnels. Pour l’UNSA Education, la lettre du protocole doit s’appliquer.

 

CTA : l’Unsa éducation interpelle la rectrice