L’Unsa Education refuse le retrait d’un poste d’infirmière scolaire en pleine crise sanitaire.

Lors du CTSD de cet après-midi, le retrait d’un poste d’infirmière

scolaire du lycée Réaumur/Buron pour le redéployer vers la Loire

Atlantique a donné lieu à un vote contre unanime. L’Unsa Education

considère ce redéploiement comme une provocation. La cité scolaire

Réaumur/Buron accueille près de 400 internes quand le Lycée les

Bourdonnières de Nantes en accueille 150 ( soit deux fois plus que

d’autres établissements similaires dans l’académie) ce qui n’est pas

pris en compte dans cette décision inacceptable.

Comment peut-on fermer un poste d’infirmière scolaire en Mayenne en pleine crise sanitaire ?

Comment peut-on choisir de déshabiller la Mayenne qui est un désert

médical et qui peine à recruter des médecins scolaires (Seuls 1,8 ETP

sont occupés sur les 6 postes) pour habiller un autre département mieux

doté ? En Mayenne un médecin scolaire suit 20 000 élèves quand son

collègue de Loire Atlantique en suit 9 000.

Comment peut-on créer 3 lycées en Loire Atlantique sans anticiper la

création de postes d’infirmières scolaires en conséquence ?

La Mayenne et ses élèves vont donc être victimes de la mauvaise

gestion du nombre d’infirmières dans l’académie. Le service public

d’éducation mérite mieux que cette parodie d’équité territoriale

académique.

L’Unsa Education demande la création de postes d’infirmières

scolaires en nombre et refuse le redéploiement d’un poste mayennais vers

la Loire-Atlantique.

Lors du CTSD de cet après-midi, le retrait d’un poste d’infirmière

scolaire du lycée Réaumur/Buron pour le redéployer vers la Loire

Atlantique a donné lieu à un vote contre unanime. L’Unsa Education

considère ce redéploiement comme une provocation. La cité scolaire

Réaumur/Buron accueille près de 400 internes quand le Lycée les

Bourdonnières de Nantes en accueille 150 ( soit deux fois plus que

d’autres établissements similaires dans l’académie) ce qui n’est pas

pris en compte dans cette décision inacceptable.

Comment peut-on fermer un poste d’infirmière scolaire en Mayenne en pleine crise sanitaire ?

Comment peut-on choisir de déshabiller la Mayenne qui est un désert

médical et qui peine à recruter des médecins scolaires (Seuls 1,8 ETP

sont occupés sur les 6 postes) pour habiller un autre département mieux

doté ? En Mayenne un médecin scolaire suit 20 000 élèves quand son

collègue de Loire Atlantique en suit 9 000.

Comment peut-on créer 3 lycées en Loire Atlantique sans anticiper la

création de postes d’infirmières scolaires en conséquence ?

La Mayenne et ses élèves vont donc être victimes de la mauvaise

gestion du nombre d’infirmières dans l’académie. Le service public

d’éducation mérite mieux que cette parodie d’équité territoriale

académique.

L’Unsa Education demande la création de postes d’infirmières

scolaires en nombre et refuse le redéploiement d’un poste mayennais vers

la Loire-Atlantique.