Déclaration liminaire de l’Unsa Education CTA du 29 mai 2018

L’Unsa Education condamne fermement les blocages et les dégradations qu’ont subis nos établissements la semaine dernière encore, entraînant une dégradation des conditions d’accueil et de la poursuite du service public d’éducation. l’Exploitation de tout prétexte par une minorité d’individus depuis plusieurs années pour recourir à la violence contre des biens et des personnels de l’éducation naionale doit cesser. Les revendications doivent passer par des canaux d’expression et de revendications démocratiques, principes mêmes que nous devons, en tant que pédagogues, transmettre à nos élèves dans le cadre de l’éducation à la citoyenneté.

L’UNSA Education revendique la liberté d’expression dans tous les lieux publics. Elle insiste également sur le fait que le respect de la loi doit rester la règle. Nous tenons à rappeler qu’alors que le plan Vigipirate est activé, l’art.431-22, qui interdit le fait de « pénétrer ou de se maintenir dans l’enceinte d’un établissement scolaire sans y être habilité » semble devoir s’appliquer en France mais pas à Paris depuis quelques années. l’apprentissage de la citoyenneté à l’Ecole ne peut se faire que dans le respect des personnes et des biens. Aucun motif ne saurait justifier les violences subies de part et d’autre.

« Parcours sup » était l’objet de désaccord profond des personnes ayant occcupé les lycées. L’Unsa-Education, demande ds moyens à la hauteur ( Biatss, Enseignants, checrcheurs, PsyEN EDO y compris en CIO…) pour que la loi » Orientation et Réussite des Etudiants » puisse se mettre en place dans de bonnes conditions dans le premier cycle universitaire. Sur ce dossier, nous demandons qu’un bilan précis soit fait de cette première année pour entirer toites les leçons pour la suite.

L’Unsa Education a lancé deux chantiers de réflexion lors de stages qui ont rencontré un large public:

le décrochage scolaire et la qualité de vie au travail. Il en est ressorti des pistes qui nous semblent importantes de porter à la connaissance de l’académie. Nous le ferons dans les instances concernées et en audience à différents niveaux. Sur ces deux sujets, la formation inter catégorielle, à l’image de ce que nous avons expérimenté, est mis en avant. Nous souhaitons donc le voir apparaitre sur ces deux aspect de nos métiers dans le cahier des charges des appels à formation.

La qualité de vie au travail est présente dans l’axe 2 du projet académique. A notre sens, cette thématique doit également apparaître dans la formation initiale et continue des personnels d’encadrement. Ils doivent se soucier des conditions de travail des personnels dont ils ont la charge mais sont aussi concernés par le respect de celles-ci pour eux-mêmes. C’est dans les actions de prévention que l’on saura améliorer le cadre d’exercice et les missions de tous les personnels, voire éviter des situations dramatiques sur les plans professionnels et personnels comme à Vauquelin par exemple.

Les pistes que nous avançons, comme celles avancées lors du dernier CT pour l’organisation du travail des collègues médicaux et sociaux, ne sont pas de l’affichage. Elles sont certes souvent entendues par l’administration, mais certainement pas étudiées sérieusement. Par exemple, depuis le dernier CTA, aucune date de GT pour les trois corps de métiers des personnels médicaux sociaux ne sont annoncés, ni même de retour des entrtetiens menés entre Conseillers Techniques et Direction.

Toutefois, ceci est peut-etre à l’image du dysfonctionnement des services que l’on ne peut plus taire. Cela est valable pour l’organisation des élections, mais aussi pour la division des écoles. Un voeu intersyndical est soumis ce jour, témoin de ce problème et demandeur de réponse prtécise.

L’Unsa Education condamne fermement les blocages et les dégradations qu’ont subis nos établissements la semaine dernière encore, entraînant une dégradation des conditions d’accueil et de la poursuite du service public d’éducation. l’Exploitation de tout prétexte par une minorité d’individus depuis plusieurs années pour recourir à la violence contre des biens et des personnels de l’éducation naionale doit cesser. Les revendications doivent passer par des canaux d’expression et de revendications démocratiques, principes mêmes que nous devons, en tant que pédagogues, transmettre à nos élèves dans le cadre de l’éducation à la citoyenneté.

L’UNSA Education revendique la liberté d’expression dans tous les lieux publics. Elle insiste également sur le fait que le respect de la loi doit rester la règle. Nous tenons à rappeler qu’alors que le plan Vigipirate est activé, l’art.431-22, qui interdit le fait de « pénétrer ou de se maintenir dans l’enceinte d’un établissement scolaire sans y être habilité » semble devoir s’appliquer en France mais pas à Paris depuis quelques années. l’apprentissage de la citoyenneté à l’Ecole ne peut se faire que dans le respect des personnes et des biens. Aucun motif ne saurait justifier les violences subies de part et d’autre.

« Parcours sup » était l’objet de désaccord profond des personnes ayant occcupé les lycées. L’Unsa-Education, demande ds moyens à la hauteur ( Biatss, Enseignants, checrcheurs, PsyEN EDO y compris en CIO…) pour que la loi » Orientation et Réussite des Etudiants » puisse se mettre en place dans de bonnes conditions dans le premier cycle universitaire. Sur ce dossier, nous demandons qu’un bilan précis soit fait de cette première année pour entirer toites les leçons pour la suite.

L’Unsa Education a lancé deux chantiers de réflexion lors de stages qui ont rencontré un large public:

le décrochage scolaire et la qualité de vie au travail. Il en est ressorti des pistes qui nous semblent importantes de porter à la connaissance de l’académie. Nous le ferons dans les instances concernées et en audience à différents niveaux. Sur ces deux sujets, la formation inter catégorielle, à l’image de ce que nous avons expérimenté, est mis en avant. Nous souhaitons donc le voir apparaitre sur ces deux aspect de nos métiers dans le cahier des charges des appels à formation.

La qualité de vie au travail est présente dans l’axe 2 du projet académique. A notre sens, cette thématique doit également apparaître dans la formation initiale et continue des personnels d’encadrement. Ils doivent se soucier des conditions de travail des personnels dont ils ont la charge mais sont aussi concernés par le respect de celles-ci pour eux-mêmes. C’est dans les actions de prévention que l’on saura améliorer le cadre d’exercice et les missions de tous les personnels, voire éviter des situations dramatiques sur les plans professionnels et personnels comme à Vauquelin par exemple.

Les pistes que nous avançons, comme celles avancées lors du dernier CT pour l’organisation du travail des collègues médicaux et sociaux, ne sont pas de l’affichage. Elles sont certes souvent entendues par l’administration, mais certainement pas étudiées sérieusement. Par exemple, depuis le dernier CTA, aucune date de GT pour les trois corps de métiers des personnels médicaux sociaux ne sont annoncés, ni même de retour des entrtetiens menés entre Conseillers Techniques et Direction.

Toutefois, ceci est peut-etre à l’image du dysfonctionnement des services que l’on ne peut plus taire. Cela est valable pour l’organisation des élections, mais aussi pour la division des écoles. Un voeu intersyndical est soumis ce jour, témoin de ce problème et demandeur de réponse prtécise.