Violences intrafamiliales : les filles et les jeunes LGBT sont les plus touché.es

L’UNSA Éducation dénonçait il y a à peine un mois l’augmentation des violences intrafamiliales liées au confinement.

Une étude du Défenseur des droits en collaboration avec Christelle Hamel, chercheuse de l’Ined vient de préciser l’ampleur des violences intrafamiliales subies par les filles et les personnes homosexuelles et bisexuelles avant leurs 25 ans.

Pour l’UNSA Éducation, le plan d’urgence présenté ce vendredi 24 avril 2020 par le gouvernement était absolument nécessaire en cette période de confinement puisqu’il va permettre l’hébergement de jeunes confrontés à des violences homophobes.

Une application dédiée « Flag » vient également d’être mise en place et permet de signaler les violences « physiques ou verbales LGBTphobes, de sérophobie, et de violences conjugales, notamment dans les couples LGBT+ ».
Celle -ci vient s’ajouter au dispositif d’alerte possible en pharmacie ou au 114.

Notre fédération, qui lutte contre toutes les formes de discriminations, salue l’ensemble des mesures prises dans le cadre de ce plan d’urgence qui permet de prendre en charge et de protéger les jeunes LGBT les plus en difficulté.

Retrouvez l’article de l’UNSA : Plan d’urgence en direction des « jeunes LGBT » : l’UNSA favorable

 

Sélectionnés pour vous
+ d’actualités nationales

L’UNSA Éducation dénonçait il y a à peine un mois l’augmentation des violences intrafamiliales liées au confinement.

Une étude du Défenseur des droits en collaboration avec Christelle Hamel, chercheuse de l’Ined vient de préciser l’ampleur des violences intrafamiliales subies par les filles et les personnes homosexuelles et bisexuelles avant leurs 25 ans.

Pour l’UNSA Éducation, le plan d’urgence présenté ce vendredi 24 avril 2020 par le gouvernement était absolument nécessaire en cette période de confinement puisqu’il va permettre l’hébergement de jeunes confrontés à des violences homophobes.

Une application dédiée « Flag » vient également d’être mise en place et permet de signaler les violences « physiques ou verbales LGBTphobes, de sérophobie, et de violences conjugales, notamment dans les couples LGBT+ ».
Celle -ci vient s’ajouter au dispositif d’alerte possible en pharmacie ou au 114.

Notre fédération, qui lutte contre toutes les formes de discriminations, salue l’ensemble des mesures prises dans le cadre de ce plan d’urgence qui permet de prendre en charge et de protéger les jeunes LGBT les plus en difficulté.

Retrouvez l’article de l’UNSA : Plan d’urgence en direction des « jeunes LGBT » : l’UNSA favorable