Valoriser l’apprentissage grâce à la mise en place d’un véritable parcours Bac +3/+5

La ministre de l’Éducation nationale souhaite encourager l’apprentissage, en perte de vitesse depuis deux ans.
Dans une interview qu’elle a donnée à Métronews récemment (voir ici), Najat Vallaud Belkacem souligne que « l’apprentissage reste encore mal connu et mal considéré et qu’on l’imagine toujours réservé à des jeunes en difficulté scolaire ».

Par là même, l’apprentissage reste encore trop souvent, dans l’inconscient collectif synonyme de scolarité courte alors que, comme le souligne la ministre, ces dernières années il s’est beaucoup développé pour les niveaux post-bac : master, ingénieur…

La démarche engagée par le gouvernement semble aller dans le sens de ce que souhaite l’UNSA Éducation. Faire de l’apprentissage une filière de réussite au même titre que les autres et non une filière de relégation. Chaque jeune doit pouvoir accéder à un niveau le plus élevé possible, grâce à un accompagnement pré- Bac et Post Bac, tant au niveau des méthodes d’enseignement, de l’orientation ou de la transversalité des cursus.
« Garantir aux jeunes en apprentissage un niveau élevé de connaissances et de compétences générales qui leur seront indispensables, au-delà des connaissances techniques et du geste, dans une vie professionnelle de plus en plus marquée par la mobilité. Utile aussi pour trouver leur place de citoyen » ajoute la ministre.

C’est ce que, à l’UNSA Éducation nous défendons, c’est pourquoi nous sommes vigilants et actifs afin que ces préconisations deviennent réalité.

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La ministre de l’Éducation nationale souhaite encourager l’apprentissage, en perte de vitesse depuis deux ans.
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Par là même, l’apprentissage reste encore trop souvent, dans l’inconscient collectif synonyme de scolarité courte alors que, comme le souligne la ministre, ces dernières années il s’est beaucoup développé pour les niveaux post-bac : master, ingénieur…

La démarche engagée par le gouvernement semble aller dans le sens de ce que souhaite l’UNSA Éducation. Faire de l’apprentissage une filière de réussite au même titre que les autres et non une filière de relégation. Chaque jeune doit pouvoir accéder à un niveau le plus élevé possible, grâce à un accompagnement pré- Bac et Post Bac, tant au niveau des méthodes d’enseignement, de l’orientation ou de la transversalité des cursus.
« Garantir aux jeunes en apprentissage un niveau élevé de connaissances et de compétences générales qui leur seront indispensables, au-delà des connaissances techniques et du geste, dans une vie professionnelle de plus en plus marquée par la mobilité. Utile aussi pour trouver leur place de citoyen » ajoute la ministre.

C’est ce que, à l’UNSA Éducation nous défendons, c’est pourquoi nous sommes vigilants et actifs afin que ces préconisations deviennent réalité.