Suppression de postes à l’étranger. Pour l’UNSA c’est non.

Le projet de Loi de finance a parlé : 52 emplois seront supprimés en 2018 dans le domaine de l’éducation à l’étranger. Les postes pour l’année scolaire 2017-2018 étant actés, ces 52 suppressions ne concernent que les quatre premiers mois de l’année scolaire 2018 (sept-déc).


Le projet de Loi de finance a parlé : 52 emplois seront supprimés en 2018 dans le domaine de l’éducation à l’étranger. Les postes pour l’année scolaire 2017-2018 étant actés, ces 52 suppressions ne concernent que les quatre premiers mois de l’année scolaire 2018 (sept-déc).

C’est la réponse que propose l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE) suite aux demandes du gouvernement d’économie budgétaire et aux précédentes annulations de crédit de juillet.


L’UNSA Éducation et ses syndicats ont d’ores et déjà demandé un rendez-vous auprès du Ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean Yves Le Drian, afin de trouver d’autres solutions que cette suppression massive de postes qui nuirait grandement à la qualité de l’enseignement français à l’étranger.


Ce choix irait de surcroit à l’encontre de l’ambition affichée par le Président de la République d’avoir un rôle moteur sur les grands enjeux de la planète dans un cadre multilatéral.

Ivry sur Seine, le 16 octobre 2017
Laurent Escure
Secrétaire général de l’UNSA Éducation

Sélectionnés pour vous
+ d’actualités nationales


Le projet de Loi de finance a parlé : 52 emplois seront supprimés en 2018 dans le domaine de l’éducation à l’étranger. Les postes pour l’année scolaire 2017-2018 étant actés, ces 52 suppressions ne concernent que les quatre premiers mois de l’année scolaire 2018 (sept-déc).

C’est la réponse que propose l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE) suite aux demandes du gouvernement d’économie budgétaire et aux précédentes annulations de crédit de juillet.


L’UNSA Éducation et ses syndicats ont d’ores et déjà demandé un rendez-vous auprès du Ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean Yves Le Drian, afin de trouver d’autres solutions que cette suppression massive de postes qui nuirait grandement à la qualité de l’enseignement français à l’étranger.


Ce choix irait de surcroit à l’encontre de l’ambition affichée par le Président de la République d’avoir un rôle moteur sur les grands enjeux de la planète dans un cadre multilatéral.

Ivry sur Seine, le 16 octobre 2017
Laurent Escure
Secrétaire général de l’UNSA Éducation