Solidarité Kenya

La barbarie n’a pas de frontières. Notre émotion, notre solidarité avec les victimes et notre action pour contrer ces fascistes ne doivent pas en avoir non plus. Il ne saurait y avoir une indignation sélective, en fonction de la cible, de la distance ou du moment. Face à ces horreurs, tourner le dos ou faire silence nous rendrait complice. En attaquant une université et en massacrant ces étudiants, ces brigades de la mort des Chabab attaquent l’humanité tout entière comme à Paris, à Copenhague, à Tunis, au Nigéria, et ailleurs.

Partout, les ressorts sont les mêmes : ils s’arrogent le droit de vie et de mort sur ceux qui ne pensent pas comme eux et ils passent froidement à l’acte. C’est pour cela que nous devons les qualifier de fascistes. Au-delà du dégoût, de l’horreur et de la tristesse que provoquent ces drames, nous devons avoir conscience que nous avons basculé dans un combat. Ce n’est pas un combat religieux et moins encore un combat de civilisation, c’est un combat des démocrates contre le fascisme, un combat de la vie contre la mort, un combat de l’Homme contre la bête immonde. À nous toutes et à nous tous d’être présents au rendez-vous.

Laurent Escure
Secrétaire général de l’UNSA Éducation

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La barbarie n’a pas de frontières. Notre émotion, notre solidarité avec les victimes et notre action pour contrer ces fascistes ne doivent pas en avoir non plus. Il ne saurait y avoir une indignation sélective, en fonction de la cible, de la distance ou du moment. Face à ces horreurs, tourner le dos ou faire silence nous rendrait complice. En attaquant une université et en massacrant ces étudiants, ces brigades de la mort des Chabab attaquent l’humanité tout entière comme à Paris, à Copenhague, à Tunis, au Nigéria, et ailleurs.

Partout, les ressorts sont les mêmes : ils s’arrogent le droit de vie et de mort sur ceux qui ne pensent pas comme eux et ils passent froidement à l’acte. C’est pour cela que nous devons les qualifier de fascistes. Au-delà du dégoût, de l’horreur et de la tristesse que provoquent ces drames, nous devons avoir conscience que nous avons basculé dans un combat. Ce n’est pas un combat religieux et moins encore un combat de civilisation, c’est un combat des démocrates contre le fascisme, un combat de la vie contre la mort, un combat de l’Homme contre la bête immonde. À nous toutes et à nous tous d’être présents au rendez-vous.

Laurent Escure
Secrétaire général de l’UNSA Éducation