Retraites : pour l’UNSA il faut obtenir les indispensables garanties

En se rendant au Conseil commun de la Fonction Publique du 20 janvier 2020, l'UNSA a rappelé ses exigences : pas de perdants du système universel de retraite chez les agents publics.

En se rendant au Conseil commun de la Fonction Publique du 20 janvier 2020, l’UNSA a rappelé ses exigences : pas de perdants du système universel de retraite chez les agents publics.

L’UNSA  rappelle qu’elle n’était pas demandeuse de cette réforme et ne conçoit le passage à un nouveau système que si toutes les garanties sont données aux agents publics pour que leurs retraites soient d’un niveau équivalent à celui de l’ancien système.

Elle a pro­posé depuis plu­sieurs mois des tran­si­tions lon­gues afin de pro­té­ger les agents actuel­le­ment en fonc­tion et d’autres part, de per­met­tre de revoir les cons­ti­tuants de la rému­né­ra­tion des agents publics pour que cette rému­né­ra­tion et les nou­veaux dérou­lés de car­rière tien­nent compte de ce nou­veau para­digme « que chaque euro cotisé donne les mêmes droits pour tous ».

Elle insiste pour que dans la loi soient prévus des dis­po­si­tifs pour sécu­ri­ser la rému­né­ra­tion de tous les agents, en par­ti­cu­liers les agents publics ter­ri­to­riaux et hos­pi­ta­liers mais également ceux des agents publics de l’État qui sont le moins bien rému­né­rés.

Par ailleurs, l’UNSA Fonction Publique par­ti­cipe aux dis­cus­sions sur la péni­bi­lité comme sur la ges­tion des fins de car­rière, deux sujets essen­tiels. Elle for­mule des pro­po­si­tions à la fois pour que le dis­po­si­tif péni­bi­lité donne de nou­veaux droits aux agents mais aussi pour que les droits acquis au titre du ser­vice actif soient conser­vés. Elle insiste aussi sur la néces­site de trou­ver des dis­po­si­tifs qui pré­ser­vent, en par­ti­cu­liers, les ouvriers d’État et les per­son­nels hos­pi­ta­liers.

L’UNSA Fonction Publique cons­tate que les condi­tions de la tenue du CCFP, l’ins­tance offi­cielle qui regroupe tous les repré­sen­tants des employeurs publics et des orga­ni­sa­tions syn­di­ca­les, n’étaient pas réu­nies. Elle insiste sur l’impor­tance du CCFP.

Elle pour­sui­vra s’en relâ­che son action, son argu­men­ta­tion au ser­vice de tous les agents publics.

Paris le 20 jan­vier
Luc Farré
Secrétaire Général de l’UNSA Fonction Publique

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En se rendant au Conseil commun de la Fonction Publique du 20 janvier 2020, l’UNSA a rappelé ses exigences : pas de perdants du système universel de retraite chez les agents publics.

L’UNSA  rappelle qu’elle n’était pas demandeuse de cette réforme et ne conçoit le passage à un nouveau système que si toutes les garanties sont données aux agents publics pour que leurs retraites soient d’un niveau équivalent à celui de l’ancien système.

Elle a pro­posé depuis plu­sieurs mois des tran­si­tions lon­gues afin de pro­té­ger les agents actuel­le­ment en fonc­tion et d’autres part, de per­met­tre de revoir les cons­ti­tuants de la rému­né­ra­tion des agents publics pour que cette rému­né­ra­tion et les nou­veaux dérou­lés de car­rière tien­nent compte de ce nou­veau para­digme « que chaque euro cotisé donne les mêmes droits pour tous ».

Elle insiste pour que dans la loi soient prévus des dis­po­si­tifs pour sécu­ri­ser la rému­né­ra­tion de tous les agents, en par­ti­cu­liers les agents publics ter­ri­to­riaux et hos­pi­ta­liers mais également ceux des agents publics de l’État qui sont le moins bien rému­né­rés.

Par ailleurs, l’UNSA Fonction Publique par­ti­cipe aux dis­cus­sions sur la péni­bi­lité comme sur la ges­tion des fins de car­rière, deux sujets essen­tiels. Elle for­mule des pro­po­si­tions à la fois pour que le dis­po­si­tif péni­bi­lité donne de nou­veaux droits aux agents mais aussi pour que les droits acquis au titre du ser­vice actif soient conser­vés. Elle insiste aussi sur la néces­site de trou­ver des dis­po­si­tifs qui pré­ser­vent, en par­ti­cu­liers, les ouvriers d’État et les per­son­nels hos­pi­ta­liers.

L’UNSA Fonction Publique cons­tate que les condi­tions de la tenue du CCFP, l’ins­tance offi­cielle qui regroupe tous les repré­sen­tants des employeurs publics et des orga­ni­sa­tions syn­di­ca­les, n’étaient pas réu­nies. Elle insiste sur l’impor­tance du CCFP.

Elle pour­sui­vra s’en relâ­che son action, son argu­men­ta­tion au ser­vice de tous les agents publics.

Paris le 20 jan­vier
Luc Farré
Secrétaire Général de l’UNSA Fonction Publique