Ralentir et contempler : atelier bien être au musée

Slow life, slow food, slow wear, slow design… et maintenant slow art ! La tendance à la lenteur débutée fin des années 2000, perdure. Elle prône la durabilité des objets, le bien être qui va de pair avec du temps personnel retrouvé, du partage, du recyclage, de la consommation locale. Ce mouvement de ralentissement commence à s’appliquer aux musées. Les « slow visites » sont l’inverse des visites classiques. Elles proposent une déambulation ralentie dans laquelle les sens vont être sollicités, le corps en entier mobilisé.
En général, dans un musée, les œuvres sont expliquées, seule la curiosité intellectuelle est stimulée. La « slow visite » est un concept né à New York en 2008, elle invite à une approche corporelle des œuvres qui peut passer par le Wutao, un art énergétique accessible à tous. Mais aussi par des jeux dans l’espace pour multiplier les points de vue, et par des temps de contemplation comme une méditation : on exerce son regard, on se ralentit soi-même. On libère ses pensées, on laisse traîner ses yeux sur l’ensemble d’une œuvre ; il faut aller en visite en se disant qu’on  ne verra pas tout mais  mieux. Une approche qualitative plutôt que quantitative !
Partout dans le monde, le « slow art day » vise à populariser cette approche : en 2017, ce sera le 8 avril ! En France, ça démarre à peine, mais néanmoins on peut se laisser guider, au Musée d’Art moderne de la Ville de Paris dans un atelier intitulé « bien être au musée », (programme à consulter ICI pour mars et avril 2017). On peut aussi tenter l’expérience, seul, en famille, en groupe, finalement c’est tout autant un état d’esprit qu’une technique contemplative !

 A noter également, l’inscription de l’association Up street 13  au programme de la journée mondiale du  slow art , pour faire découvrir lentement l’art urbain dans le 13ème arrondissement de Paris.

Programme autour du monde : slowartday.com

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Slow life, slow food, slow wear, slow design… et maintenant slow art ! La tendance à la lenteur débutée fin des années 2000, perdure. Elle prône la durabilité des objets, le bien être qui va de pair avec du temps personnel retrouvé, du partage, du recyclage, de la consommation locale. Ce mouvement de ralentissement commence à s’appliquer aux musées. Les « slow visites » sont l’inverse des visites classiques. Elles proposent une déambulation ralentie dans laquelle les sens vont être sollicités, le corps en entier mobilisé.
En général, dans un musée, les œuvres sont expliquées, seule la curiosité intellectuelle est stimulée. La « slow visite » est un concept né à New York en 2008, elle invite à une approche corporelle des œuvres qui peut passer par le Wutao, un art énergétique accessible à tous. Mais aussi par des jeux dans l’espace pour multiplier les points de vue, et par des temps de contemplation comme une méditation : on exerce son regard, on se ralentit soi-même. On libère ses pensées, on laisse traîner ses yeux sur l’ensemble d’une œuvre ; il faut aller en visite en se disant qu’on  ne verra pas tout mais  mieux. Une approche qualitative plutôt que quantitative !
Partout dans le monde, le « slow art day » vise à populariser cette approche : en 2017, ce sera le 8 avril ! En France, ça démarre à peine, mais néanmoins on peut se laisser guider, au Musée d’Art moderne de la Ville de Paris dans un atelier intitulé « bien être au musée », (programme à consulter ICI pour mars et avril 2017). On peut aussi tenter l’expérience, seul, en famille, en groupe, finalement c’est tout autant un état d’esprit qu’une technique contemplative !

 A noter également, l’inscription de l’association Up street 13  au programme de la journée mondiale du  slow art , pour faire découvrir lentement l’art urbain dans le 13ème arrondissement de Paris.

Programme autour du monde : slowartday.com