Première rencontre positive avec Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation

L’UNSA Éducation a rappelé la priorité qui doit être donnée à la réussite des étudiants et à la formation, ainsi que son attachement au service public de l'Enseignement supérieur.

L’UNSA Éducation a rencontré Frédérique Vidal, ministre de l’enseignement supérieur et de la Recherche et de l’innovation. Dans des échanges francs et respectueux, l’UNSA Éducation a su rappeler ses priorités et son attachement à la réussite des étudiants, à la formation ainsi qu’au service public de l’enseignement supérieur et de la Recherche.

L’UNSA Éducation s’est positionnée comme un interlocuteur exigeant, prêt à travailler dans le cadre d’un dialogue social constructif.

Cette rencontre a été l’occasion d’aborder l’Enseignement supérieur sous ses différents aspects : articulation entre le lycée et l’université, sélection en master, gouvernance des établissements, fusions, COMUE, recherche, mise en oeuvre du RIFSEEP, mobilité, augmentation du nombre d’agents contractuels, situation des personnels ouvriers des CROUS.

Sur ces différents points, nous avons rappelé nos principes et nos lignes rouges. En particulier notre attachement à des corps de fonctionnaires de l’État, à l’existence de l’AENES dans l’ESR et notre opposition à la diminution des emplois.

Nous avons exprimé le souhait de ne pas voir une nouvelle loi qui vienne à nouveau bouleverser totalement le paysage de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

Nous avons également évoqué la situation de la santé des étudiants et des élèves et le fait que nous étions prêts, avec nos syndicats concernés, à travailler sur ces sujets.

Pour l’UNSA Éducation, c’est une première rencontre positive. Nous attendrons maintenant que la volonté de dialogue affiché se concrétise et de connaître précisément la feuille de route de la ministre.

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L’UNSA Éducation a rencontré Frédérique Vidal, ministre de l’enseignement supérieur et de la Recherche et de l’innovation. Dans des échanges francs et respectueux, l’UNSA Éducation a su rappeler ses priorités et son attachement à la réussite des étudiants, à la formation ainsi qu’au service public de l’enseignement supérieur et de la Recherche.

L’UNSA Éducation s’est positionnée comme un interlocuteur exigeant, prêt à travailler dans le cadre d’un dialogue social constructif.

Cette rencontre a été l’occasion d’aborder l’Enseignement supérieur sous ses différents aspects : articulation entre le lycée et l’université, sélection en master, gouvernance des établissements, fusions, COMUE, recherche, mise en oeuvre du RIFSEEP, mobilité, augmentation du nombre d’agents contractuels, situation des personnels ouvriers des CROUS.

Sur ces différents points, nous avons rappelé nos principes et nos lignes rouges. En particulier notre attachement à des corps de fonctionnaires de l’État, à l’existence de l’AENES dans l’ESR et notre opposition à la diminution des emplois.

Nous avons exprimé le souhait de ne pas voir une nouvelle loi qui vienne à nouveau bouleverser totalement le paysage de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

Nous avons également évoqué la situation de la santé des étudiants et des élèves et le fait que nous étions prêts, avec nos syndicats concernés, à travailler sur ces sujets.

Pour l’UNSA Éducation, c’est une première rencontre positive. Nous attendrons maintenant que la volonté de dialogue affiché se concrétise et de connaître précisément la feuille de route de la ministre.