Nouveaux programmes : l’UNSA assume son soutien en CSE

Hier soir, après 2 jours de travail, le CSE s’est prononcé défavorablement sur les nouveaux programmes des cycles 2, 3 et 4 présentés par la DGESCO. L’UNSA Éducation et ses syndicats, ont soutenu ces textes qui s’inscrivent dans la logique d’ensemble voulue par la loi de la Refondation de l’École.

Hier soir, après 2 jours de travail, le CSE s’est prononcé défavorablement sur les nouveaux programmes des cycles 2, 3 et 4 présentés par la DGESCO (pour : 18 ; contre : 21 ; abstention : 12).

L’UNSA Éducation et ses syndicats, ont soutenu ces textes qui s’inscrivent dans la logique d’ensemble voulue par la loi de la Refondation de l’École.

C’est justement ce lien avec l’esprit de la Refondation, qui a motivé l’opposition à ces nouveaux programmes de la part des plus contestataires. Encore une fois, les débats de ce CSE ont reflété l’opposition de deux conceptions de l’Éducation.
L’UNSA assume totalement la sienne, et aspire très concrètement à une évolution de notre système éducatif. C’est pourquoi elle a soutenu ces nouveaux programmes élaborés par le CSP et retravaillés suite à la consultation des enseignants. Le Ministère, qui a d’ailleurs salué ce travail et la participation des personnels, en a également profité pour rappeler l’importance de ces textes qui traduisent un changement de paradigme.
Alors que les organisations qui ne sont pas hostiles au socle commun, ont demandé une mise en œuvre échelonnée. L’UNSA a pris la responsabilité d’aller jusqu’au bout du travail mené car, pour la première fois, le défi de notre École est de changer en cohérence. Oui, les réformes se sont multipliées depuis 3 ans, mais nous soutenons la logique d’ensemble qui est menée.
Ces nouveaux programmes s’articulent en effet, avec la nouvelle organisation des enseignements en collège, avec l’affirmation du lien école–collège, avec la notion d’interdisciplinarité. Ils vont dans le bons sens !
Alors que les autres organisations trouvent que ce n’est toujours pas assez (ni assez loin, ni assez lentement), notre syndicalisme combatif et positif nous a amené à travailler les textes proposés et faire des amendements –très souvent repris par l’administration.

L’UNSA soutient ces programmes, qui font de l’école maternelle un cycle à part entière, qui font confiance aux enseignants en leur permettant de faire de vrais choix pédagogiques, qui sont directement liés aux compétences travaillées pour la maîtrise du socle.
Par ailleurs, consciente du calendrier serré, de la nécessité d’accompagner et de soutenir les collègues pour la mise en œuvre de ces changements, l’UNSA Éducation a d’ores et déjà annoncé qu’elle se montrera exigeante sur le plan de formation et les documents d’accompagnements promis par le Ministère.

Sélectionnés pour vous
+ d’actualités nationales

Hier soir, après 2 jours de travail, le CSE s’est prononcé défavorablement sur les nouveaux programmes des cycles 2, 3 et 4 présentés par la DGESCO (pour : 18 ; contre : 21 ; abstention : 12).

L’UNSA Éducation et ses syndicats, ont soutenu ces textes qui s’inscrivent dans la logique d’ensemble voulue par la loi de la Refondation de l’École.

C’est justement ce lien avec l’esprit de la Refondation, qui a motivé l’opposition à ces nouveaux programmes de la part des plus contestataires. Encore une fois, les débats de ce CSE ont reflété l’opposition de deux conceptions de l’Éducation.
L’UNSA assume totalement la sienne, et aspire très concrètement à une évolution de notre système éducatif. C’est pourquoi elle a soutenu ces nouveaux programmes élaborés par le CSP et retravaillés suite à la consultation des enseignants. Le Ministère, qui a d’ailleurs salué ce travail et la participation des personnels, en a également profité pour rappeler l’importance de ces textes qui traduisent un changement de paradigme.
Alors que les organisations qui ne sont pas hostiles au socle commun, ont demandé une mise en œuvre échelonnée. L’UNSA a pris la responsabilité d’aller jusqu’au bout du travail mené car, pour la première fois, le défi de notre École est de changer en cohérence. Oui, les réformes se sont multipliées depuis 3 ans, mais nous soutenons la logique d’ensemble qui est menée.
Ces nouveaux programmes s’articulent en effet, avec la nouvelle organisation des enseignements en collège, avec l’affirmation du lien école–collège, avec la notion d’interdisciplinarité. Ils vont dans le bons sens !
Alors que les autres organisations trouvent que ce n’est toujours pas assez (ni assez loin, ni assez lentement), notre syndicalisme combatif et positif nous a amené à travailler les textes proposés et faire des amendements –très souvent repris par l’administration.

L’UNSA soutient ces programmes, qui font de l’école maternelle un cycle à part entière, qui font confiance aux enseignants en leur permettant de faire de vrais choix pédagogiques, qui sont directement liés aux compétences travaillées pour la maîtrise du socle.
Par ailleurs, consciente du calendrier serré, de la nécessité d’accompagner et de soutenir les collègues pour la mise en œuvre de ces changements, l’UNSA Éducation a d’ores et déjà annoncé qu’elle se montrera exigeante sur le plan de formation et les documents d’accompagnements promis par le Ministère.