« Merci mes amis ! »

« Merci mes amis ! » C’est ainsi que Marine Le Pen a débuté son discours lors de la conférence du groupe Europe des nations et des libertés (ENL) le samedi 21 janvier, à Coblence, en Allemagne. Qui sont donc les amis de la présidente du Front national ?

« Merci mes amis ! » C’est ainsi que Marine Le Pen a débuté son discours lors de la conférence du groupe Europe des nations et des libertés (ENL) le samedi 21 janvier, à Coblence, en Allemagne.

Qui sont donc les amis de la présidente du Front national ?

Les représentants des partis comme la Ligue du nord italienne, le FPÖ autrichien, le PVV néerlandais et l’AFD allemand ce nouveau parti anti-euro et anti-immigration né en 2013.

C’est donc auprès des partis de droites extrêmes et populistes européens que Marine Le Pen trouve ses alliés à l’international.

Car il faut rappeler que la candidate à l’élection présidentielle ne s’est pas rendue au Royaume-Uni pendant la campagne référendaire sur le Brexit, en 2016, après que l’hypothèse de sa venue a suscité une levée de boucliers outre-Manche. Son déplacement au Québec, en mars 2016, s’est soldé par un échec, puisqu’elle a été boudée par les responsables politiques locaux, et étrillée par une partie de la presse sur place. On ne retient de sa récente visite « privée » à New York, le 12 janvier, qu’une photo d’elle attablée à un café de la « Trump Tower ». Et comme l’a révélé le journal Libération, elle a été guidé par l’ancien député FN (1986-1988) Pierre Ceyrac, un vieux compagnon de son père…

Sélectionnés pour vous
+ d’actualités nationales

« Merci mes amis ! » C’est ainsi que Marine Le Pen a débuté son discours lors de la conférence du groupe Europe des nations et des libertés (ENL) le samedi 21 janvier, à Coblence, en Allemagne.

Qui sont donc les amis de la présidente du Front national ?

Les représentants des partis comme la Ligue du nord italienne, le FPÖ autrichien, le PVV néerlandais et l’AFD allemand ce nouveau parti anti-euro et anti-immigration né en 2013.

C’est donc auprès des partis de droites extrêmes et populistes européens que Marine Le Pen trouve ses alliés à l’international.

Car il faut rappeler que la candidate à l’élection présidentielle ne s’est pas rendue au Royaume-Uni pendant la campagne référendaire sur le Brexit, en 2016, après que l’hypothèse de sa venue a suscité une levée de boucliers outre-Manche. Son déplacement au Québec, en mars 2016, s’est soldé par un échec, puisqu’elle a été boudée par les responsables politiques locaux, et étrillée par une partie de la presse sur place. On ne retient de sa récente visite « privée » à New York, le 12 janvier, qu’une photo d’elle attablée à un café de la « Trump Tower ». Et comme l’a révélé le journal Libération, elle a été guidé par l’ancien député FN (1986-1988) Pierre Ceyrac, un vieux compagnon de son père…