Ma caravane, mon sang

Il faut (re)lire ce roman, Grâce et dénuement, écrit en 1997, où Alice Ferney nous plonge au coeur d’une réalité, celle des gitans, gens du voyage, nomades.

Les parents comme les enfants sont écartelés entre le désir de sédentarisation, d’école, de savoir et la tradition si lourde et si importante.

Encore une fois, ce sont les mots, les livres d’Esther, la bibliothécaire au coeur de ce camp de gitans, qui aideront les enfants et leurs parents à ouvrir une fenêtre sur un autre monde que celui du terrain vague. Et ce sont les mots qui aideront aussi le lecteur à se battre et condamner l’ostracisme et les préjugés.

Alice Ferney, Grâce et dénuement, 1997, J’ai Lu

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Il faut (re)lire ce roman, Grâce et dénuement, écrit en 1997, où Alice Ferney nous plonge au coeur d’une réalité, celle des gitans, gens du voyage, nomades.

Les parents comme les enfants sont écartelés entre le désir de sédentarisation, d’école, de savoir et la tradition si lourde et si importante.

Encore une fois, ce sont les mots, les livres d’Esther, la bibliothécaire au coeur de ce camp de gitans, qui aideront les enfants et leurs parents à ouvrir une fenêtre sur un autre monde que celui du terrain vague. Et ce sont les mots qui aideront aussi le lecteur à se battre et condamner l’ostracisme et les préjugés.

Alice Ferney, Grâce et dénuement, 1997, J’ai Lu