25 novembre 2014 : Cette journée sera à nouveau cette année l’occasion, au niveau international, de dénoncer les violences faites aux femmes, violences qui peuvent revêtir des formes différentes. Mais, au-delà d’une simple journée, rappelons-le, c’est aussi l’occasion, autour d’une période plus large de parler, débattre, organiser des manifestations et réunions d’information, dénoncer.
Le site du ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes rappelle ces chiffres : « Chaque année, plus de 216 000 femmes de 18 à 59 ans sont victimes de violences physiques ou sexuelles de la part de leur ancien ou actuel partenaire. 86 000 femmes indiquent avoir été victimes de viol ou de tentative de viol, et seules 10% d’entre elles déposent plainte».
Les violences peuvent également être des violences verbales. Moins visibles, souvent dissimulées derrière l’excuse d’un humour douteux, elles sont tout autant inacceptables. Plusieurs de nos femmes politiques en ont fait les frais ces derniers mois…..Les dénoncer, ne rien laisser passer est la seule façon de ne pas accepter la banalisation de la violence quelle qu’elle soit !
Par ailleurs, pour prendre la mesure des violences et agir contre elles, dès l’école le Ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a publié, à l’occasion de cette journée, publie un dossier avec une infographie à lire ici.
