L’Éducation doit rester la priorité de la nation

De plus en plus régulièrement nos collègues nous font part de leur besoin de stabilité et de voir les engagements s’inscrire dans la durée. Nous le répétons souvent : le temps de l’éducation doit être déconnecté du temps des échéances politiques. On ne peut installer et évaluer des politiques éducatives seulement si elles s’inscrivent dans un temps long. C’est pourquoi les moyens mis au service de ces politiques doivent également s’inscrire dans la durée.

De plus en plus régulièrement nos collègues nous font part de leur besoin de stabilité et de voir les engagements s’inscrire dans la durée.

Nous le répétons souvent : le temps de l’éducation doit être déconnecté du temps des échéances politiques. On ne peut installer et évaluer des politiques éducatives seulement si elles s’inscrivent dans un temps long.
C’est pourquoi les moyens mis au service de ces politiques doivent également s’inscrire dans la durée.

Ces 5 dernières années ont vu le budget du ministère de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur et de la recherche redevenir le premier budget de la nation à 93 milliards d’euros. Les priorités définies par la loi de la Refondation de l’école (60000 créations de postes, revalorisation des carrières, mise en place des ESPE, réforme de l’éducation prioritaire entre autres …) ont été engagées grâce à 9 milliards de crédits supplémentaires sur la mandature.
Ces priorités doivent maintenant être amplifiées pour faire progresser les élèves. C’est l’ensemble des personnels (enseignants, d’encadrement, administratifs, santé sociaux) des ministères et opérateurs éducatifs qui sont chargés de mettre en œuvre ces politiques. A ce titre, ils doivent tous être soutenus et reconnus.
Pour l’UNSA Education, cela passera donc par la poursuite des efforts pour l’Éducation nationale mais également par un effort conséquent sur l’Enseignement supérieur et la Recherche. Ca signifie également l’arrêt des suppressions de postes à Jeunesse et Sports ainsi que dans les opérateurs éducatifs.

Retrouvez ici nos 25 exigences pour l’Education

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De plus en plus régulièrement nos collègues nous font part de leur besoin de stabilité et de voir les engagements s’inscrire dans la durée.

Nous le répétons souvent : le temps de l’éducation doit être déconnecté du temps des échéances politiques. On ne peut installer et évaluer des politiques éducatives seulement si elles s’inscrivent dans un temps long.
C’est pourquoi les moyens mis au service de ces politiques doivent également s’inscrire dans la durée.

Ces 5 dernières années ont vu le budget du ministère de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur et de la recherche redevenir le premier budget de la nation à 93 milliards d’euros. Les priorités définies par la loi de la Refondation de l’école (60000 créations de postes, revalorisation des carrières, mise en place des ESPE, réforme de l’éducation prioritaire entre autres …) ont été engagées grâce à 9 milliards de crédits supplémentaires sur la mandature.
Ces priorités doivent maintenant être amplifiées pour faire progresser les élèves. C’est l’ensemble des personnels (enseignants, d’encadrement, administratifs, santé sociaux) des ministères et opérateurs éducatifs qui sont chargés de mettre en œuvre ces politiques. A ce titre, ils doivent tous être soutenus et reconnus.
Pour l’UNSA Education, cela passera donc par la poursuite des efforts pour l’Éducation nationale mais également par un effort conséquent sur l’Enseignement supérieur et la Recherche. Ca signifie également l’arrêt des suppressions de postes à Jeunesse et Sports ainsi que dans les opérateurs éducatifs.

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