L’éducation des filles de plus en plus attaquée dans le monde

Un rapport de l’ONU, publié le 9 février dernier, pointe les attaques contre des écoles dans plus de 70 pays au cours des cinq dernières années, « attaques qui visent en particulier les filles, leurs familles et les enseignants plaidant pour l’égalité des sexes en matière d’éducation ».

Le rapport cite plusieurs cas. Certains d’entre eux ont été un temps largement médiatisés soulevant indignation et mobilisation internationale (l’attaque contre Malala en 2012, l’enlèvement de près de 300 écolières en avril 2014 par le groupe Boko Haram dans le nord du Nigéria).
De nombreux autres cas le sont moins : empoisonnements et attaques à l’acide contre des écolières en Afghanistan ; filles forcées d’abandonner l’école en Somalie ou encore viol de filles dans une école chrétienne en Inde ; attaques avec violences sexuelles contre des enseignants et des filles en République démocratique du Congo, au Salvador, en Haïti, au Mali, aux Philippines ou en Syrie….la liste est longue.

Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’Homme, souligne l’effet de ricochet des attaques contre l’éducation des filles « qui ont non seulement un impact sur la vie des filles et des communautés directement concernées mais qui donnent le sentiment aux parents que les écoles ne sont pas des lieux sûrs pour les filles ».

La communauté internationale doit dénoncer sans relâche ces exactions.
Certes, le prix Nobel de la paix remis à Malala (elle vient d’ailleurs de lancer un nouvel appel à l’action pour la libération des lycéennes nigérianes) représentait une reconnaissance de son engagement pour la scolarisation des enfants et des filles en particulier, et en creux une condamnation de ces actes barbares.
À nous aussi, de relayer inlassablement ces attaques inadmissibles. C’est ce que nous nous engageons à faire.

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Un rapport de l’ONU, publié le 9 février dernier, pointe les attaques contre des écoles dans plus de 70 pays au cours des cinq dernières années, « attaques qui visent en particulier les filles, leurs familles et les enseignants plaidant pour l’égalité des sexes en matière d’éducation ».

Le rapport cite plusieurs cas. Certains d’entre eux ont été un temps largement médiatisés soulevant indignation et mobilisation internationale (l’attaque contre Malala en 2012, l’enlèvement de près de 300 écolières en avril 2014 par le groupe Boko Haram dans le nord du Nigéria).
De nombreux autres cas le sont moins : empoisonnements et attaques à l’acide contre des écolières en Afghanistan ; filles forcées d’abandonner l’école en Somalie ou encore viol de filles dans une école chrétienne en Inde ; attaques avec violences sexuelles contre des enseignants et des filles en République démocratique du Congo, au Salvador, en Haïti, au Mali, aux Philippines ou en Syrie….la liste est longue.

Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’Homme, souligne l’effet de ricochet des attaques contre l’éducation des filles « qui ont non seulement un impact sur la vie des filles et des communautés directement concernées mais qui donnent le sentiment aux parents que les écoles ne sont pas des lieux sûrs pour les filles ».

La communauté internationale doit dénoncer sans relâche ces exactions.
Certes, le prix Nobel de la paix remis à Malala (elle vient d’ailleurs de lancer un nouvel appel à l’action pour la libération des lycéennes nigérianes) représentait une reconnaissance de son engagement pour la scolarisation des enfants et des filles en particulier, et en creux une condamnation de ces actes barbares.
À nous aussi, de relayer inlassablement ces attaques inadmissibles. C’est ce que nous nous engageons à faire.