L’éducation à la sexualité, levier essentiel de la lutte contre les stéréotypes.

« Il est de la responsabilité des pouvoirs publics de répondre à tou.te.s les jeunes par des informations objectives, sans jugement ni stéréotype » a rappelé Danielle Bousquet Présidente du Haut Conseil à l’Egalité lors de la remise à la ministre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, et à la ministre des Familles, de l'Enfance et des Droits des femmes, du rapport relatif à l’Éducation à la sexualité : « répondre aux attentes des jeunes, construire une société d’égalité femmes-hommes ».

« Il est de la responsabilité des pouvoirs publics de répondre à tou.te.s les jeunes par des informations objectives, sans jugement ni stéréotype » a rappelé Danielle Bousquet Présidente du Haut Conseil à l’Egalité (HCEfh) lors de la remise à la ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, et à la ministre des Familles, de l’Enfance et des Droits des femmes, du rapport relatif à l’Éducation à la sexualité : « répondre aux attentes des jeunes, construire une société d’égalité femmes-hommes ».

Pour l’UNSA Éducation ce rappel essentiel au vu du bilan que dresse le HCEfh sur l’état de l’éducation à la sexualité en France : « seule une toute petite minorité » des 12 millions d’élèves ont bénéficié de séances annuelles d’éducation à la sexualité, alors que la loi en instaure 3 par an.

L’UNSA Éducation partage également le constat du HCEfh concernant le déficit de formation des enseignants et des personnels sur le sujet, « un manque de moyens financiers, de disponibilité du personnel et la difficile gestion des emplois du temps ».

Et comme le note le rapport, en l’absence d’informations, les jeunes se tournent vers internet et y ils trouvent trop souvent des informations erronés, moralisatrice ou alors pornographiques.

Pourtant l’éducation à la sexualité est un levier essentiel dans la lutte contre les stéréotypes sexistes, les violences sexuelles, le harcèlement, et également pour l’éducation des enfants.

L’UNSA Éducation espère que les préconisations du rapport du HCE seront suivies d’effet.

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« Il est de la responsabilité des pouvoirs publics de répondre à tou.te.s les jeunes par des informations objectives, sans jugement ni stéréotype » a rappelé Danielle Bousquet Présidente du Haut Conseil à l’Egalité (HCEfh) lors de la remise à la ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, et à la ministre des Familles, de l’Enfance et des Droits des femmes, du rapport relatif à l’Éducation à la sexualité : « répondre aux attentes des jeunes, construire une société d’égalité femmes-hommes ».

Pour l’UNSA Éducation ce rappel essentiel au vu du bilan que dresse le HCEfh sur l’état de l’éducation à la sexualité en France : « seule une toute petite minorité » des 12 millions d’élèves ont bénéficié de séances annuelles d’éducation à la sexualité, alors que la loi en instaure 3 par an.

L’UNSA Éducation partage également le constat du HCEfh concernant le déficit de formation des enseignants et des personnels sur le sujet, « un manque de moyens financiers, de disponibilité du personnel et la difficile gestion des emplois du temps ».

Et comme le note le rapport, en l’absence d’informations, les jeunes se tournent vers internet et y ils trouvent trop souvent des informations erronés, moralisatrice ou alors pornographiques.

Pourtant l’éducation à la sexualité est un levier essentiel dans la lutte contre les stéréotypes sexistes, les violences sexuelles, le harcèlement, et également pour l’éducation des enfants.

L’UNSA Éducation espère que les préconisations du rapport du HCE seront suivies d’effet.