Le vif succès des activités éducatives

Une enquête menée auprès de plus de 6.600 communes au printemps dernier par la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) en coopération avec l’Association des maires de France montrent que les activités périscolaires mises en place lors du lancement de la réforme des rythmes scolaires à la rentrée 2013 ont connu un vif succès de fréquentation.

D’après l’enquête, parmi les 4.000 communes qui sont entrés dans les nouveaux rythmes dès l’an dernier, 92% ont organisé des nouvelles activités périscolaires (Nap), dont près des deux tiers (64%) ont choisi de répartir ces Nap sur quatre jours.

Pour l’année scolaire 2014/2015, d’après les projets des maires déclarés à l’Éducation nationale au printemps dernier, ce sont  87% des communes qui devraient proposer des Nap.

Certes les difficultés de mise en œuvre conduisent  à des aménagements. Ainsi, « au total, à la rentrée 2014/2015, 48% des communes devraient organiser les Nap sur une, deux ou trois journées. »

L’obligation de réaliser un PEDT pour continuer à bénéficier de l’argent du fonds d’amorçage pourrait aider à travailler la qualité et la cohérence des projets éducatifs et donc des activités et des démarches pédagogiques. Pour cela, une obligation d’accompagnement et de formation est indispensable. La reconnaissance et la qualification des animateurs et le travail conjoint avec les enseignants sont aussi des éléments incontournables.

Mais, d’ores et déjà, cet éclairage est positif. Il met en évidence –qu’au-delà des difficultés réelles- la complémentarité éducative a du sens, de mieux en mieux compris et partagé, pour peu qu’on ne cherche pas à instrumentaliser l’éducation globale à d’autres fins que le bien-être et la réussite des enfants.
 

Sélectionnés pour vous
+ d’actualités nationales

Une enquête menée auprès de plus de 6.600 communes au printemps dernier par la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) en coopération avec l’Association des maires de France montrent que les activités périscolaires mises en place lors du lancement de la réforme des rythmes scolaires à la rentrée 2013 ont connu un vif succès de fréquentation.

D’après l’enquête, parmi les 4.000 communes qui sont entrés dans les nouveaux rythmes dès l’an dernier, 92% ont organisé des nouvelles activités périscolaires (Nap), dont près des deux tiers (64%) ont choisi de répartir ces Nap sur quatre jours.

Pour l’année scolaire 2014/2015, d’après les projets des maires déclarés à l’Éducation nationale au printemps dernier, ce sont  87% des communes qui devraient proposer des Nap.

Certes les difficultés de mise en œuvre conduisent  à des aménagements. Ainsi, « au total, à la rentrée 2014/2015, 48% des communes devraient organiser les Nap sur une, deux ou trois journées. »

L’obligation de réaliser un PEDT pour continuer à bénéficier de l’argent du fonds d’amorçage pourrait aider à travailler la qualité et la cohérence des projets éducatifs et donc des activités et des démarches pédagogiques. Pour cela, une obligation d’accompagnement et de formation est indispensable. La reconnaissance et la qualification des animateurs et le travail conjoint avec les enseignants sont aussi des éléments incontournables.

Mais, d’ores et déjà, cet éclairage est positif. Il met en évidence –qu’au-delà des difficultés réelles- la complémentarité éducative a du sens, de mieux en mieux compris et partagé, pour peu qu’on ne cherche pas à instrumentaliser l’éducation globale à d’autres fins que le bien-être et la réussite des enfants.