Le bonheur, c’est l’avenir!

Le 20 mars est la journée internationale du bonheur.

Et l’idée est loin d’être saugrenue!

L’UNSA Education revient sur cette journée qui s’inscrit dans la même démarche que notre manifeste Oxygène dont la volonté est de «laisser place à l’imagination et à l’optimisme. » pour penser l’avenir différemment.

Décider de la suprématie du bonheur national sur le revenu national ou le « Bonheur national brut (BNB) » c’est possible et cela existe déjà.
Depuis les années 1970, le Bhoutan l’a adopté comme un indice plus représentatif du niveau de vie réel que le Produit national brut (PNB).

C’est donc inspirée du Bouthan que l’Organisation des Nations Unies (ONU) a voté en 2013 à l’unanimité des pays membres (ni la Russie ni la Chine n’ont exercé leur droit de véto) la journée du bonheur.

Elle invite chaque état-membre à célébrer cette journée dans le cadre d’initiatives éducatives et d’activités de sensibilisation.

Pourquoi donc ?

Parce que le véritable but de cette journée est la prise de conscience par les gouvernements que la seule croissance économique ne suffit plus à assurer le « bonheur » d’un pays.
Un développement plus équitable, équilibré et durable permettrait de mieux lutter contre la pauvreté et d’assurer le bien-être de tous les peuples.

La déclaration du Secrétaire Général des Nations Unies est d’ailleurs explicite:
« Le monde a besoin d’un nouveau paradigme économique qui reconnaît la parité entre les trois piliers du développement durable. Les bien-être social, économique et environnemental sont indissociables. Ensemble, ils définissent le bonheur brut mondial. »

L’Unsa Education avait déjà abordé la question du nouveau programme de développement durable lancé par l’ONU, articulé autour de 17 objectifs de développement durable, ainsi que de l’accord mondial sur les changements climatiques, adopté à Paris. Et si pour atteinde ces objectifs, le bonheur était une des solutions?


Pour aller plus loin : Questions d’Educ. : Passer du Produit intérieur brut au bonheur national brut : une utopie en actes

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Le 20 mars est la journée internationale du bonheur.

Et l’idée est loin d’être saugrenue!

L’UNSA Education revient sur cette journée qui s’inscrit dans la même démarche que notre manifeste Oxygène dont la volonté est de «laisser place à l’imagination et à l’optimisme. » pour penser l’avenir différemment.

Décider de la suprématie du bonheur national sur le revenu national ou le « Bonheur national brut (BNB) » c’est possible et cela existe déjà.
Depuis les années 1970, le Bhoutan l’a adopté comme un indice plus représentatif du niveau de vie réel que le Produit national brut (PNB).

C’est donc inspirée du Bouthan que l’Organisation des Nations Unies (ONU) a voté en 2013 à l’unanimité des pays membres (ni la Russie ni la Chine n’ont exercé leur droit de véto) la journée du bonheur.

Elle invite chaque état-membre à célébrer cette journée dans le cadre d’initiatives éducatives et d’activités de sensibilisation.

Pourquoi donc ?

Parce que le véritable but de cette journée est la prise de conscience par les gouvernements que la seule croissance économique ne suffit plus à assurer le « bonheur » d’un pays.
Un développement plus équitable, équilibré et durable permettrait de mieux lutter contre la pauvreté et d’assurer le bien-être de tous les peuples.

La déclaration du Secrétaire Général des Nations Unies est d’ailleurs explicite:
« Le monde a besoin d’un nouveau paradigme économique qui reconnaît la parité entre les trois piliers du développement durable. Les bien-être social, économique et environnemental sont indissociables. Ensemble, ils définissent le bonheur brut mondial. »

L’Unsa Education avait déjà abordé la question du nouveau programme de développement durable lancé par l’ONU, articulé autour de 17 objectifs de développement durable, ainsi que de l’accord mondial sur les changements climatiques, adopté à Paris. Et si pour atteinde ces objectifs, le bonheur était une des solutions?


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