L’avortement remis en question en Espagne

L’exemple de ce qui se passe en Espagne actuellement prouve une nouvelle fois que les droits acquis sont toujours susceptibles d’être remis en cause et qu’il faut les valoriser et les défendre sans relâche.

L’exemple de ce qui se passe en Espagne actuellement prouve une nouvelle fois que les droits acquis sont toujours susceptibles d’être remis en cause et qu’il faut les valoriser et les défendre sans relâche.

Alors que la loi sur le droit à l’avortement a fêté ses trois ans en Espagne en juillet dernier, un projet de loi proposé par le gouvernement conservateur espagnol, pourrait n’autoriser l’avortement dans un délai de 14 semaines, « qu’en cas de viol ou de risque grave pour la santé de la mère ». Un retour en arrière qui indigne la majorité de l’opinion d’après le journal « El País », d’autant que, selon une récente étude, plus du quart des femmes qui avortent en Espagne le font pour des raisons économiques.
Nous devons tous rester vigilants. Le Parlement européen vient de refuser de voter un rapport qui préconise de faire du droit à l’avortement, un droit fondamental.
Cette lutte pour le droit des femmes doit être la lutte de l’ensemble de la société.

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L’exemple de ce qui se passe en Espagne actuellement prouve une nouvelle fois que les droits acquis sont toujours susceptibles d’être remis en cause et qu’il faut les valoriser et les défendre sans relâche.

Alors que la loi sur le droit à l’avortement a fêté ses trois ans en Espagne en juillet dernier, un projet de loi proposé par le gouvernement conservateur espagnol, pourrait n’autoriser l’avortement dans un délai de 14 semaines, « qu’en cas de viol ou de risque grave pour la santé de la mère ». Un retour en arrière qui indigne la majorité de l’opinion d’après le journal « El País », d’autant que, selon une récente étude, plus du quart des femmes qui avortent en Espagne le font pour des raisons économiques.
Nous devons tous rester vigilants. Le Parlement européen vient de refuser de voter un rapport qui préconise de faire du droit à l’avortement, un droit fondamental.
Cette lutte pour le droit des femmes doit être la lutte de l’ensemble de la société.