La PJ de Paris fête son centenaire

La PJ de Paris fête son centenaire au Champ de Mars, jusqu’au 8 décembre.

Sûrement plus populaire par les polars et les séries télévisées, que par la réalité, le public se montre néanmoins curieux envers cette police, bien à part, comme le montre le succès des Journées du patrimoine, au 36 Quai des Orfèvres.

La visite est active : on peut ainsi entrer dans la peau des Experts, incarner virtuellement un enquêteur, avec des animations interactives, en partant d’une scène de crime.

Le parcours de cette exposition retrace également les créations des différentes brigades du 36 : la criminelle, celles du banditisme, du proxénétisme (la «mondaine»), des stupéfiants ou de la financière, apparues progressivement pour s’adapter aux évolutions de la criminalité.

Pour cela, les concepteurs mettent en avant une cinquantaine des plus grandes affaires, qui ont également contribué à forger le mythe du 36: l’affaire Petiot, Guy Georges, celle de Thierry Paulin (le tueur des vielles dames), Elf, ou bien encore le gang des postiches.

Un cycle de conférences ponctue aussi cette exposition autour de sujets divers tels que « La cybersécurité à l’étranger » ou encore « Crime à la Une : l’évolution du traitement médiatique des affaires ».

Au vu du nombre de sponsors, on pourra, cependant, regretter le montant prohibitif de l’entrée…

1913-2013, 100 ans de la Police judiciaire de Paris, toutes les informations ici.

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La PJ de Paris fête son centenaire au Champ de Mars, jusqu’au 8 décembre.

Sûrement plus populaire par les polars et les séries télévisées, que par la réalité, le public se montre néanmoins curieux envers cette police, bien à part, comme le montre le succès des Journées du patrimoine, au 36 Quai des Orfèvres.

La visite est active : on peut ainsi entrer dans la peau des Experts, incarner virtuellement un enquêteur, avec des animations interactives, en partant d’une scène de crime.

Le parcours de cette exposition retrace également les créations des différentes brigades du 36 : la criminelle, celles du banditisme, du proxénétisme (la «mondaine»), des stupéfiants ou de la financière, apparues progressivement pour s’adapter aux évolutions de la criminalité.

Pour cela, les concepteurs mettent en avant une cinquantaine des plus grandes affaires, qui ont également contribué à forger le mythe du 36: l’affaire Petiot, Guy Georges, celle de Thierry Paulin (le tueur des vielles dames), Elf, ou bien encore le gang des postiches.

Un cycle de conférences ponctue aussi cette exposition autour de sujets divers tels que « La cybersécurité à l’étranger » ou encore « Crime à la Une : l’évolution du traitement médiatique des affaires ».

Au vu du nombre de sponsors, on pourra, cependant, regretter le montant prohibitif de l’entrée…

1913-2013, 100 ans de la Police judiciaire de Paris, toutes les informations ici.