La parité gagne les élections

Lors des prochaines élections départementales, des 22 et 29 mars prochains, deux conseillers départementaux seront élus dans chaque canton au scrutin binominal à deux tours. Les candidats devront se présenter en binôme composé d’une femme et d’un homme. Cette disposition vise à poursuivre l’objectif de parité qui avait commencé à être mis en œuvre depuis la loi du 31 janvier 2007, disposant que les suppléants devaient être de sexe opposé à celui du candidat.

Par ailleurs, pour conforter la parité, la loi prévoit que le binôme des suppléants des candidats doit lui aussi être composé de deux personnes de sexes différents, afin que chaque candidat et son remplaçant soient du même sexe. (voir Vie-publique.fr)

Aujourd’hui, seules 16.3% des conseillers généraux sont des femmes. Ce mode de scrutin permettra à 1500 supplémentaires de siéger dans les assemblées départementales.

Alors bien sûr, comme à chaque fois que les quotas font leur apparition, « imposant » en quelque sorte la présence des femmes, des voix ne manqueront pas de s’élever pour dénoncer leur présence « factice », dûe à leur statut de femmes et non à leurs capacités réelles.

Alors, bien sûr, comme à chaque fois que les quotas font leur apparition, des voix ne manqueront pas de s’élever pour regretter qu’elles soient élues en tant que conseillères mais encore trop absentes de la présidence des conseils départementaux.

Laissons dire et laissons le temps au temps de prouver qu’elles sont aussi capables et qu’elles conquerront bientôt d’autres sièges…Les quotas, quoi qu’on en pense, sont parfois nécessaires pour en arriver là.

 

 

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Par ailleurs, pour conforter la parité, la loi prévoit que le binôme des suppléants des candidats doit lui aussi être composé de deux personnes de sexes différents, afin que chaque candidat et son remplaçant soient du même sexe. (voir Vie-publique.fr)

Aujourd’hui, seules 16.3% des conseillers généraux sont des femmes. Ce mode de scrutin permettra à 1500 supplémentaires de siéger dans les assemblées départementales.

Alors bien sûr, comme à chaque fois que les quotas font leur apparition, « imposant » en quelque sorte la présence des femmes, des voix ne manqueront pas de s’élever pour dénoncer leur présence « factice », dûe à leur statut de femmes et non à leurs capacités réelles.

Alors, bien sûr, comme à chaque fois que les quotas font leur apparition, des voix ne manqueront pas de s’élever pour regretter qu’elles soient élues en tant que conseillères mais encore trop absentes de la présidence des conseils départementaux.

Laissons dire et laissons le temps au temps de prouver qu’elles sont aussi capables et qu’elles conquerront bientôt d’autres sièges…Les quotas, quoi qu’on en pense, sont parfois nécessaires pour en arriver là.