« Illusions » ou le retour au rock d’Ibrahim Maalouf

Avec ce 5ème album, Illusions, un an après le feutré et jazzy Wind, Ibrahim Maalouf s’intéresse à un thème de notre quotidien : « L’envie de traiter le thème de l’illusion m’est apparue dès ma première désillusion » écrit-il, pour présenter, le premier titre de l’album.

Les thèmes sont sombres « Conspiracy generation » (la dénonciation de la théorie du « complot »), « InPRESSI », dénonçant à travers ce mot-valise la quête permanente de vérité qui se révèle bien illusoire, ou encore « Busy »‘, rappelant le souvenir de cette sonnerie de téléphone obsédante dans un Liban en guerre, quand son père appelait pour prendre des nouvelles des siens.
Pourtant, la musique n’a jamais été aussi rock et festive! Au son de 4 trompettes, avec des influences des balkans, du Liban et du jazz, cet album vibre au son des années 70 et se place dans la continuité du superbe « Beirut », qui était un hommage à Led Zeppelin.

Ibrahim Maalouf a su se renouveler sans perdre son âme! Le son est puissant, on passe de la fureur au mystère, bref, un excellent album qui doit prendre toute son ampleur sur scène!

Toutes les dates de concert ici.

Lire l’interview d’Ibrahim Maalouf, à la sortie de Wind, dans la revue L’enseignement public, page 30 ici.

 

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Avec ce 5ème album, Illusions, un an après le feutré et jazzy Wind, Ibrahim Maalouf s’intéresse à un thème de notre quotidien : « L’envie de traiter le thème de l’illusion m’est apparue dès ma première désillusion » écrit-il, pour présenter, le premier titre de l’album.

Les thèmes sont sombres « Conspiracy generation » (la dénonciation de la théorie du « complot »), « InPRESSI », dénonçant à travers ce mot-valise la quête permanente de vérité qui se révèle bien illusoire, ou encore « Busy »‘, rappelant le souvenir de cette sonnerie de téléphone obsédante dans un Liban en guerre, quand son père appelait pour prendre des nouvelles des siens.
Pourtant, la musique n’a jamais été aussi rock et festive! Au son de 4 trompettes, avec des influences des balkans, du Liban et du jazz, cet album vibre au son des années 70 et se place dans la continuité du superbe « Beirut », qui était un hommage à Led Zeppelin.

Ibrahim Maalouf a su se renouveler sans perdre son âme! Le son est puissant, on passe de la fureur au mystère, bref, un excellent album qui doit prendre toute son ampleur sur scène!

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Lire l’interview d’Ibrahim Maalouf, à la sortie de Wind, dans la revue L’enseignement public, page 30 ici.