«Garantie jeune» : une mesure qui va dans le bon sens

Près de deux millions de jeunes de 15 à 29 ans ne sont ni en emploi, ni en formation, ni à l’école. Pour eux, le gouvernement va expérimenter, dans dix territoires, la Garantie Jeune qui a pour objectif de sécuriser les parcours des plus précaires. Il est construit sur la base d’un engagement réciproque Mission locale/jeune. Malgré ses limites, ce dispositif « va dans le bon sens » pour l’UNSA.

Près de deux millions de jeunes de 15 à 29 ans ne sont ni en emploi, ni en formation, ni à l’école. Pour eux, le gouvernement va expérimenter, dans dix territoires, la Garantie Jeune qui a pour objectif de sécuriser les parcours des plus précaires. Il est construit sur la base d’un engagement réciproque Mission locale/jeune. Malgré ses limites, ce dispositif « va dans le bon sens » pour l’UNSA.

Plus de 1,9 million de jeunes de 15 à 29 ans ne sont ni en emploi, ni en formation, ni à l’école. Plus de 200 000 jeunes sortent chaque année du système éducatif sans diplôme. On estime que 20% de cette population vit sous le seuil de pauvreté.

Face à ce constat, le gouvernement va expérimenter, dans 10 territoires, la Garantie Jeune. Ce nouveau dispositif réservé aux jeunes âgés de 18 à 25 ans, ni en emploi, ni en formation, ni à l’école, a pour objectif de sécuriser les parcours des plus précaires. Il est construit sur la base d’un engagement réciproque Mission locale/jeune où tout jeune en accompagnement personnalisé se verra proposer des expériences professionnelles, et/ou de formations, en contrepartie d’une allocation mensuelle de 486 euros.

Cet outil doit permettre de lutter efficacement contre la précarité dont les jeunes sont les premières victimes. L’UNSA a pointé les limites de ce dispositif mais s’engagera pour qu’il réussisse et demande que les organisations syndicales y soient associées.

Plus de détails sur le site de l’UNSA (interprofessionnelle).

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Près de deux millions de jeunes de 15 à 29 ans ne sont ni en emploi, ni en formation, ni à l’école. Pour eux, le gouvernement va expérimenter, dans dix territoires, la Garantie Jeune qui a pour objectif de sécuriser les parcours des plus précaires. Il est construit sur la base d’un engagement réciproque Mission locale/jeune. Malgré ses limites, ce dispositif « va dans le bon sens » pour l’UNSA.

Plus de 1,9 million de jeunes de 15 à 29 ans ne sont ni en emploi, ni en formation, ni à l’école. Plus de 200 000 jeunes sortent chaque année du système éducatif sans diplôme. On estime que 20% de cette population vit sous le seuil de pauvreté.

Face à ce constat, le gouvernement va expérimenter, dans 10 territoires, la Garantie Jeune. Ce nouveau dispositif réservé aux jeunes âgés de 18 à 25 ans, ni en emploi, ni en formation, ni à l’école, a pour objectif de sécuriser les parcours des plus précaires. Il est construit sur la base d’un engagement réciproque Mission locale/jeune où tout jeune en accompagnement personnalisé se verra proposer des expériences professionnelles, et/ou de formations, en contrepartie d’une allocation mensuelle de 486 euros.

Cet outil doit permettre de lutter efficacement contre la précarité dont les jeunes sont les premières victimes. L’UNSA a pointé les limites de ce dispositif mais s’engagera pour qu’il réussisse et demande que les organisations syndicales y soient associées.

Plus de détails sur le site de l’UNSA (interprofessionnelle).