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Encourager la mobilisation contre les violences faites aux femmes.

Publié le 23 novembre 2016

Une femme meurt tous les trois jours sous les coups de son compagnon ou ex-compagnon. Une femme sur trois dans le monde est victime de violence dans sa vie, et le plus souvent au sein de son foyer.

Une réalité cinglante qui concerne tous les milieux, toutes les cultures et tous les statuts sociaux. Il n’y a pas de portrait type de la femme battue ni qu’il y en a de l’agresseur. Rien ne distingue a priori ceux qui passeront à l’acte.

À l’occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes*, le 25 novembre, le gouvernement présente son plan d’actions pour 2017-2019.

Des dispositifs de prise en charge et de formation ont déjà été mis en place ce que le Haut Conseil à l’égalité des femmes et des hommes (HCE) salue dans son rapport. Augmentation des capacités d’accueils de jour de proximité et plan de formation à l’attention des professionnel.le.s font partie de la donne.

Inscrit dans ce processus, le centre Hubertine Auclert, propose le 28 novembre une journée de formation gratuite aux professionnel-le-s afin de repérer et orienter les jeunes femmes victimes de violences.

De multiples événements, colloques, lieux de rencontres/débats, des expositions ou des pièces de théâtre « déconstruire les idées reçues sur les violences faites aux femmes » sont organisés autour du 25 novembre, pour appeler à une véritable prise de conscience collective sur le sujet.

Certaines communes favorisent l’installation d’associations en mettant à disposition des locaux dans le cadre d’hébergements et de bureaux partagés à l’instar des Voisines dans le 14ème arrondissement de Paris.

Pour la fédération Unsa Education, la lutte contre toutes les violences faites aux femmes passent également par des initiatives de ce type. Elles sont à consolider et toutes les ressources doivent être mobilisées pour leur mise en œuvre.

Pour aller plus loin :

*le site du ministère

Articles de l’Unsa Education :

Harcèlement de rue, ça suffit!

Vous avez dit cybersexisme ?

Viol : partir en guerre contre cette arme massive de domination

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Une réalité cinglante qui concerne tous les milieux, toutes les cultures et tous les statuts sociaux. Il n’y a pas de portrait type de la femme battue ni qu’il y en a de l’agresseur. Rien ne distingue a priori ceux qui passeront à l’acte.

À l’occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes*, le 25 novembre, le gouvernement présente son plan d’actions pour 2017-2019.

Des dispositifs de prise en charge et de formation ont déjà été mis en place ce que le Haut Conseil à l’égalité des femmes et des hommes (HCE) salue dans son rapport. Augmentation des capacités d’accueils de jour de proximité et plan de formation à l’attention des professionnel.le.s font partie de la donne.

Inscrit dans ce processus, le centre Hubertine Auclert, propose le 28 novembre une journée de formation gratuite aux professionnel-le-s afin de repérer et orienter les jeunes femmes victimes de violences.

De multiples événements, colloques, lieux de rencontres/débats, des expositions ou des pièces de théâtre « déconstruire les idées reçues sur les violences faites aux femmes » sont organisés autour du 25 novembre, pour appeler à une véritable prise de conscience collective sur le sujet.

Certaines communes favorisent l’installation d’associations en mettant à disposition des locaux dans le cadre d’hébergements et de bureaux partagés à l’instar des Voisines dans le 14ème arrondissement de Paris.

Pour la fédération Unsa Education, la lutte contre toutes les violences faites aux femmes passent également par des initiatives de ce type. Elles sont à consolider et toutes les ressources doivent être mobilisées pour leur mise en œuvre.

Pour aller plus loin :

*le site du ministère

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