Dijon : l’UNSA Éducation en campagne

Laurent Escure, secrétaire général de l’Unsa Éducation (Union Nationale des Syndicats Autonomes), effectue depuis décembre un tour de France des académies, à la rencontre des militants aussi bien que des personnels éducatifs. Ce mardi, il était à Dijon.

La rentrée 2013 a vu la mise en œuvre de la loi du 8 juillet sur la refondation de l’École de la République. Loin de faire l’unanimité – surtout à propos des rythmes scolaires, victimes de fortes polémiques –, cette réforme est pourtant centrale dans l’Éducation. Par ce contact direct avec les principaux concernés, à savoir les personnels éducatifs, Laurent Escure souhaite recueillir des témoignages sur leurs nouvelles conditions de travail. Il cherche également à entraîner de nouvelles adhésions à son syndicat afin d’accroître sa représentativité et lutter pour cette Refondation de l’Éducation.

En premier argument, il rappelle qu’un étudiant sur deux échoue en licence avec le système actuel. La refonte des programmes et la mise en place d’un socle commun solide sont donc, selon lui, indispensables afin de permettre à tous une insertion professionnelle facile, ou une reconversion plus aisée en cas d’erreur de parcours. Il précise que la Refondation de l’Éducation est centrale, certes, mais qu’il ne mésestime pas la nécessité de revoir également l’école qui, selon ses dires, creuse encore les inégalités au lieu de les réduire et défavorise les plus fragiles.

Il évoque enfin le besoin d’un réformisme combatif face à certains maires qui mettent un frein à la mise en place de la réforme, et qui « minent le pacte républicain ».

Lire l’article du Bien public.

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Laurent Escure, secrétaire général de l’Unsa Éducation (Union Nationale des Syndicats Autonomes), effectue depuis décembre un tour de France des académies, à la rencontre des militants aussi bien que des personnels éducatifs. Ce mardi, il était à Dijon.

La rentrée 2013 a vu la mise en œuvre de la loi du 8 juillet sur la refondation de l’École de la République. Loin de faire l’unanimité – surtout à propos des rythmes scolaires, victimes de fortes polémiques –, cette réforme est pourtant centrale dans l’Éducation. Par ce contact direct avec les principaux concernés, à savoir les personnels éducatifs, Laurent Escure souhaite recueillir des témoignages sur leurs nouvelles conditions de travail. Il cherche également à entraîner de nouvelles adhésions à son syndicat afin d’accroître sa représentativité et lutter pour cette Refondation de l’Éducation.

En premier argument, il rappelle qu’un étudiant sur deux échoue en licence avec le système actuel. La refonte des programmes et la mise en place d’un socle commun solide sont donc, selon lui, indispensables afin de permettre à tous une insertion professionnelle facile, ou une reconversion plus aisée en cas d’erreur de parcours. Il précise que la Refondation de l’Éducation est centrale, certes, mais qu’il ne mésestime pas la nécessité de revoir également l’école qui, selon ses dires, creuse encore les inégalités au lieu de les réduire et défavorise les plus fragiles.

Il évoque enfin le besoin d’un réformisme combatif face à certains maires qui mettent un frein à la mise en place de la réforme, et qui « minent le pacte républicain ».

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