Des avancées à confirmer dans l’agenda social de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

Le ministère organisait ce 6 juillet un point d’étape sur l‘agenda social de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. L’UNSA Éducation signataire du protocole qui l’instituait avait fait part en début d’année de ces inquiétudes. Nous avions alors insisté pour que des éléments concrets en sortent.

Le ministère organisait ce 6 juillet un point d’étape sur l‘agenda social de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
L’UNSA Éducation signataire du protocole qui l’instituait avait fait part en début d’année de ces inquiétudes. Nous avions alors insisté pour que des éléments concrets en sortent.

Dans les documents présentés (cf PJ) les propositions sur la mobilité reprennent de nombreux éléments que nous avions portés en particulier sur la question des mutations des enseignants chercheurs (le communiqué de sup-Recherche-UNSA), mais également pour les ATRF et les personnels de bibliothèque sur des questions de calendrier et de procédure. Il faudra maintenant que ces mesures se traduisent concrètement. L’expression de la CPU sur sa volonté de ne pas les appliquer est pour nous totalement déplacée et inacceptable.
Un vrai droit à la mobilité pour les personnels de l’enseignement supérieur et de la Recherche est essentiel. C’est pourquoi l’UNSA Éducation fait de ce point un élément central pour la réussite de l’agenda social.

Dans les conclusions provisoires de cet agenda social, d’autres mesures sont annoncées qui devront elles aussi être précisées et réalisées.
Ainsi, pour les personnels non-titulaires, le dispositif Sauvadet prolongé par la Loi déontologie devra être appliqué entièrement. Il faut s’attaquer fortement à la résorption de la précarité dans l’Enseignement supérieur et la Recherche. L’UNSA Éducation sera attentive à la mise en œuvre de l’ensemble des mesures prévues.

Sur la question des carrières, nous avons eu confirmation de l’application du protocole PPCR aux chercheurs, enseignants chercheurs et ITRF avec des discussions à l’automne. En réaction à nos interrogations sur l’absence d’avancées sur les corps d’Assistants ingénieurs (ASI) et d’Ingénieurs d’étude (IGE) qui auraient déjà dû être travaillées, on nous a précisé qu’ils seraient également traités à l’automne. L’UNSA Éducation sera mobilisée sur ce dossier qu’elle a soutenu et qui doit se traduire par l’amélioration des carrières des personnels.

Enfin en ce qui concerne le RIFSEEP, le ministère a précisé lors de cette réunion que les ITRF et ITA adhéreront bien au RIFSEEP mais aux alentours de septembre 2017 avec la négociation d’une enveloppe budgétaire supplémentaire qui permettra un travail de convergence des montants entre les différentes filières. Pour l’UNSA Éducation, il n’était pas possible que la situation reste bloquée alors même que la filière administrative (AENES) était déjà passée au RIFSEEP. Nous regrettons que le décalage dans le temps entre le traitement des deux filières soit aussi important ce qui pose des difficultés dans les établissements.

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Le ministère organisait ce 6 juillet un point d’étape sur l‘agenda social de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
L’UNSA Éducation signataire du protocole qui l’instituait avait fait part en début d’année de ces inquiétudes. Nous avions alors insisté pour que des éléments concrets en sortent.

Dans les documents présentés (cf PJ) les propositions sur la mobilité reprennent de nombreux éléments que nous avions portés en particulier sur la question des mutations des enseignants chercheurs (le communiqué de sup-Recherche-UNSA), mais également pour les ATRF et les personnels de bibliothèque sur des questions de calendrier et de procédure. Il faudra maintenant que ces mesures se traduisent concrètement. L’expression de la CPU sur sa volonté de ne pas les appliquer est pour nous totalement déplacée et inacceptable.
Un vrai droit à la mobilité pour les personnels de l’enseignement supérieur et de la Recherche est essentiel. C’est pourquoi l’UNSA Éducation fait de ce point un élément central pour la réussite de l’agenda social.

Dans les conclusions provisoires de cet agenda social, d’autres mesures sont annoncées qui devront elles aussi être précisées et réalisées.
Ainsi, pour les personnels non-titulaires, le dispositif Sauvadet prolongé par la Loi déontologie devra être appliqué entièrement. Il faut s’attaquer fortement à la résorption de la précarité dans l’Enseignement supérieur et la Recherche. L’UNSA Éducation sera attentive à la mise en œuvre de l’ensemble des mesures prévues.

Sur la question des carrières, nous avons eu confirmation de l’application du protocole PPCR aux chercheurs, enseignants chercheurs et ITRF avec des discussions à l’automne. En réaction à nos interrogations sur l’absence d’avancées sur les corps d’Assistants ingénieurs (ASI) et d’Ingénieurs d’étude (IGE) qui auraient déjà dû être travaillées, on nous a précisé qu’ils seraient également traités à l’automne. L’UNSA Éducation sera mobilisée sur ce dossier qu’elle a soutenu et qui doit se traduire par l’amélioration des carrières des personnels.

Enfin en ce qui concerne le RIFSEEP, le ministère a précisé lors de cette réunion que les ITRF et ITA adhéreront bien au RIFSEEP mais aux alentours de septembre 2017 avec la négociation d’une enveloppe budgétaire supplémentaire qui permettra un travail de convergence des montants entre les différentes filières. Pour l’UNSA Éducation, il n’était pas possible que la situation reste bloquée alors même que la filière administrative (AENES) était déjà passée au RIFSEEP. Nous regrettons que le décalage dans le temps entre le traitement des deux filières soit aussi important ce qui pose des difficultés dans les établissements.