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Culture: concerts tests, un espoir pour la reprise

Dans le but d’évaluer la sur-propagation du virus dans le milieu culturel, deux concerts tests vont être réalisés dans les semaines à venir.

L’un se déroulera au Dôme, à Marseille , l’autre à l’AccorHotels Arena à Paris.
Le but de ces expérimentations consistent à aider le monde de la culture à redémarrer avec des bases scientifiques.

Pour l’UNSA éducation, les lieux culturels doivent rouvrir le plus rapidement possible pour redonner à chaque individu les apports artistiques et culturels qui participent à sa propre construction et favorise son bien-être.
La culture est notre bien collectif et elle se doit d’être remise dans les lieux considérés comme «essentiels» au même titre que les bibliothèques et les lieux de culte.

L’expérience est supervisée par l’INSERM (L’Institut national de la santé et de la recherche médicale) avec un protocole extrêmement précis.
Selon Vincent Estornel, médecin urgentiste, l’objectif est « d’évaluer le sur-risque de s’infecter quand on assiste à un spectacle avec un protocole sanitaire adapté à l’événement et aux lieux recevant le public », propos tenu sur Europe  le 18/02/21

Le spectacle, à but non lucratif ouvrira ses portes à un public étudiant de 20 à 30 ans recruté sur les bancs de l’université d’Aix-Marseille et ne présentant pas de maladies.
2 000 candidats seront retenus pour participer à 2 concerts à une semaine d’intervalle.
Un premier groupe de 1000 personnes participera au concert en live en étant assis puis une semaine après ce sera le tour du second groupe.
Il sera autorisé de se lever pour « se trémousser devant sa chaise » selon Vincent Estornel.
Pour limiter les déplacements lors du concert,  chaque étudiant se verra remettre du gel hydro alcoolique, une boisson ainsi que de la nourriture.
Le port du masque FFP2 sera obligatoire dès l’entrée dans la salle et celle-ci sera au préalable décontaminée à l’aide d’un canon à neige transformé en désinfectant.

3 séries de tests COVID seront effectués à : J-1, J+6 et J+13. Les résultats seront donnés uniquement à la fin de l’expérimentation. Cela engendre que, certains étudiants assisteront au concert même en étant testé positif.
Cette donnée est importante pour l’expérimentation Française qui se veut différente des autres expériences menées dans les autres pays européens.
Le but est de vérifier par cette exposition possible que les contaminations seront moindre voir inexistantes si le protocole est correctement respecté.
Selon Jean-Marc Coppola, adjoint au maire de Marseille, chargé de la culture, « Tout ce qui peut permettre, comme tests et expérimentations, montrant qu’il n’y a pas plus de risques dans les salles de spectacles que les centres-commerciaux ou dans les métros et les trains, pourra servir au niveau national à prendre une décision de réouverture ».

Un deuxième concert devrait également avoir lieu avec un protocole similaire de ce dernier à Paris, à l’AcorHotels Arena.L’INSERM envisage ce dernier à quelques semaines d’intervalle, avec 7500 étudiants dont 2500 en visio et 5000 en concert live debout.

Ces 2 concerts tests apporteront des résultats, suivis de mesures concrètes présentés lors d’un congrès avant l’été 2021. L’objectif permettant de donner des préconisations pour les grands rassemblements tels que les festivals et de proposer des pistes de réouverture de lieux culturels.

Nous espérons à l’Unsa Éducation que cette expérimentation ne représente pas un sur-risque de contaminations au Covid-19 et ainsi permette de déterminer les mesures à appliquer pour une reprise au plus vite du secteur événementiel malgré la crise sanitaire.

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Dans le but d’évaluer la sur-propagation du virus dans le milieu culturel, deux concerts tests vont être réalisés dans les semaines à venir.

L’un se déroulera au Dôme, à Marseille , l’autre à l’AccorHotels Arena à Paris.
Le but de ces expérimentations consistent à aider le monde de la culture à redémarrer avec des bases scientifiques.

Pour l’UNSA éducation, les lieux culturels doivent rouvrir le plus rapidement possible pour redonner à chaque individu les apports artistiques et culturels qui participent à sa propre construction et favorise son bien-être.
La culture est notre bien collectif et elle se doit d’être remise dans les lieux considérés comme «essentiels» au même titre que les bibliothèques et les lieux de culte.

L’expérience est supervisée par l’INSERM (L’Institut national de la santé et de la recherche médicale) avec un protocole extrêmement précis.
Selon Vincent Estornel, médecin urgentiste, l’objectif est « d’évaluer le sur-risque de s’infecter quand on assiste à un spectacle avec un protocole sanitaire adapté à l’événement et aux lieux recevant le public », propos tenu sur Europe  le 18/02/21

Le spectacle, à but non lucratif ouvrira ses portes à un public étudiant de 20 à 30 ans recruté sur les bancs de l’université d’Aix-Marseille et ne présentant pas de maladies.
2 000 candidats seront retenus pour participer à 2 concerts à une semaine d’intervalle.
Un premier groupe de 1000 personnes participera au concert en live en étant assis puis une semaine après ce sera le tour du second groupe.
Il sera autorisé de se lever pour « se trémousser devant sa chaise » selon Vincent Estornel.
Pour limiter les déplacements lors du concert,  chaque étudiant se verra remettre du gel hydro alcoolique, une boisson ainsi que de la nourriture.
Le port du masque FFP2 sera obligatoire dès l’entrée dans la salle et celle-ci sera au préalable décontaminée à l’aide d’un canon à neige transformé en désinfectant.

3 séries de tests COVID seront effectués à : J-1, J+6 et J+13. Les résultats seront donnés uniquement à la fin de l’expérimentation. Cela engendre que, certains étudiants assisteront au concert même en étant testé positif.
Cette donnée est importante pour l’expérimentation Française qui se veut différente des autres expériences menées dans les autres pays européens.
Le but est de vérifier par cette exposition possible que les contaminations seront moindre voir inexistantes si le protocole est correctement respecté.
Selon Jean-Marc Coppola, adjoint au maire de Marseille, chargé de la culture, « Tout ce qui peut permettre, comme tests et expérimentations, montrant qu’il n’y a pas plus de risques dans les salles de spectacles que les centres-commerciaux ou dans les métros et les trains, pourra servir au niveau national à prendre une décision de réouverture ».

Un deuxième concert devrait également avoir lieu avec un protocole similaire de ce dernier à Paris, à l’AcorHotels Arena.L’INSERM envisage ce dernier à quelques semaines d’intervalle, avec 7500 étudiants dont 2500 en visio et 5000 en concert live debout.

Ces 2 concerts tests apporteront des résultats, suivis de mesures concrètes présentés lors d’un congrès avant l’été 2021. L’objectif permettant de donner des préconisations pour les grands rassemblements tels que les festivals et de proposer des pistes de réouverture de lieux culturels.

Nous espérons à l’Unsa Éducation que cette expérimentation ne représente pas un sur-risque de contaminations au Covid-19 et ainsi permette de déterminer les mesures à appliquer pour une reprise au plus vite du secteur événementiel malgré la crise sanitaire.