Congrès UNSA : le syndicalisme en positif

Durant trois jours d’échanges et de débats dynamiques et constructifs, le 6e congrès de l’UNSA, à Montpellier, a permis d’affirmer le choix du syndicalisme en positif.

Durant trois jours d’échanges et de débats dynamiques et constructifs, le 6e congrès de l’UNSA, à Montpellier, a permis d’affirmer le choix du syndicalisme en positif.

Loin des adeptes du tout ou rien (qui se traduit généralement par rien), le syndicalisme de l’UNSA c’est celui du réformisme combatif, ce syndicalisme efficace qui sait négocier pour aboutir à des compromis utiles aux salariés.

Le modèle UNSA, c’est aussi celui de la marque autonome avec des syndicats libres de leurs décisions sur le terrain, mais qui partagent un socle de valeurs, une vision du syndicalisme et cherchent à construire ensemble.

C’est dans cet esprit que les 1200 délégués des fédérations ou syndicats et des unions régionales se sont réunis pour définir ensemble les orientations de l’UNSA pour les quatre années à venir. Ils ont adopté à une écrasante majorité, la résolution générale qui fixe le cap :

  • un syndicalisme intransigeant sur ses valeurs, qui lutte résolument contre le racisme, l’antisémitisme, la xénophobie, le sexisme et l’homophobie et toutes les discriminations;
  • un syndicalisme réformiste tourné vers l’efficacité syndicale au service des salariés du public et du privé, qui se bat pour l’emploi, la protection sociale, les retraites, mais aussi des services publics de qualité;
  • un syndicalisme résolument tourné vers la construction d’une Europe sociale.

L’UNSA Éducation s’inscrit dans la construction de ce syndicalisme interprofessionnel. C’est ainsi que nous avons participé au colloque Qualité de Vie au Travail en ouverture du congrès (cliquer ici).

Créée en 1993, l’UNSA ne cesse de se développer en proposant une nouvelle offre syndicale. Forts de ces résultats aux élections professionnelles du 4 décembre 2014 dans la fonction publique, l’UNSA vise maintenant la représentativité globale dans le secteur privé.

C’est bien avec ce syndicalisme interprofessionnel, qui dépasse les simples corporatismes, que peut se développer une véritable démocratie sociale telle que nous la portons à l’UNSA Éducation.


Storify du colloque Qualité de Vie au Travail en ouverture du congrès UNSA http://bit.ly/1N2xwAy

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Durant trois jours d’échanges et de débats dynamiques et constructifs, le 6e congrès de l’UNSA, à Montpellier, a permis d’affirmer le choix du syndicalisme en positif.

Loin des adeptes du tout ou rien (qui se traduit généralement par rien), le syndicalisme de l’UNSA c’est celui du réformisme combatif, ce syndicalisme efficace qui sait négocier pour aboutir à des compromis utiles aux salariés.

Le modèle UNSA, c’est aussi celui de la marque autonome avec des syndicats libres de leurs décisions sur le terrain, mais qui partagent un socle de valeurs, une vision du syndicalisme et cherchent à construire ensemble.

C’est dans cet esprit que les 1200 délégués des fédérations ou syndicats et des unions régionales se sont réunis pour définir ensemble les orientations de l’UNSA pour les quatre années à venir. Ils ont adopté à une écrasante majorité, la résolution générale qui fixe le cap :

L’UNSA Éducation s’inscrit dans la construction de ce syndicalisme interprofessionnel. C’est ainsi que nous avons participé au colloque Qualité de Vie au Travail en ouverture du congrès (cliquer ici).

Créée en 1993, l’UNSA ne cesse de se développer en proposant une nouvelle offre syndicale. Forts de ces résultats aux élections professionnelles du 4 décembre 2014 dans la fonction publique, l’UNSA vise maintenant la représentativité globale dans le secteur privé.

C’est bien avec ce syndicalisme interprofessionnel, qui dépasse les simples corporatismes, que peut se développer une véritable démocratie sociale telle que nous la portons à l’UNSA Éducation.


Storify du colloque Qualité de Vie au Travail en ouverture du congrès UNSA http://bit.ly/1N2xwAy