Carte scolaire en Ariège

À l’occasion du comité technique spécial départemental (CTSD), hier matin, l’inspectrice d’académie Nathalie Costantini a présenté aux syndicats ses propositions d’ouvertures et de fermetures de classes dans le premier degré pour la rentrée prochaine. Sachant qu’il n’y aura ni gain, ni perte de postes d’enseignants devant les élèves.

Les termes ont beau changer régulièrement mais le processus est toujours le même. Ainsi, avant que ne soit officiellement adoptée la future carte scolaire du premier degré dans le département, l’inspectrice d’académie et directrice académique des services de l’Éducation nationale (DASEN) est tenue de présenter aux syndicats enseignants ses propositions d’ouvertures et de fermetures de classes. Nathalie Costantini s’est donc prêtée à l’exercice ce mercredi matin, lors d’un comité technique spécial départemental (ex-comité technique paritaire départemental, CTPD).

Un ensemble de mesures qui satisfont en partie Antoine Loguillard, secrétaire départemental de l’UNSA-Éducation, et Monique Gonzales, secrétaire départemental du Syndicat des enseignants (SE-UNSA). Côté bonnes nouvelles, en effet, l’Ariège va profiter du «contexte national de créations de postes». Il ne s’agira pas, cependant, de postes d’enseignants dans les classes mais de dix postes de formateurs pour les vingt stagiaires actuellement inscrits en école supérieure du professorat et de l’éducation (ESPE) du département. «Du coup, pour la première fois depuis 2008, des enseignants stagiaires vont retourner au centre universitaire à Montgauzy (à Foix, N.D.L.R.)», se félicite Antoine Loguillard.

Pas de nouveauté à attendre, en revanche, pour les postes de professeurs des écoles devant les élèves. L’académie de Toulouse a, certes, «récupéré» 167 postes cette année – «Avec ceux de l’an passé, cela permet de rattraper totalement les suppressions enregistrées en 2011 et 2012 sous le gouvernement Fillon», glisse Antoine Loguillard – mais l’Ariège, qui a bénéficié d’un rattrapage l’an passé, n’en verra pas la couleur. C’est donc avec un nombre de postes identique à celui de l’année scolaire 2013-2014 que l’inspectrice d’académie travaille sur la carte scolaire 2014-2015. (…)

Lire la suite de l’article sur le site de la Dépêche.fr

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À l’occasion du comité technique spécial départemental (CTSD), hier matin, l’inspectrice d’académie Nathalie Costantini a présenté aux syndicats ses propositions d’ouvertures et de fermetures de classes dans le premier degré pour la rentrée prochaine. Sachant qu’il n’y aura ni gain, ni perte de postes d’enseignants devant les élèves.

Les termes ont beau changer régulièrement mais le processus est toujours le même. Ainsi, avant que ne soit officiellement adoptée la future carte scolaire du premier degré dans le département, l’inspectrice d’académie et directrice académique des services de l’Éducation nationale (DASEN) est tenue de présenter aux syndicats enseignants ses propositions d’ouvertures et de fermetures de classes. Nathalie Costantini s’est donc prêtée à l’exercice ce mercredi matin, lors d’un comité technique spécial départemental (ex-comité technique paritaire départemental, CTPD).

Un ensemble de mesures qui satisfont en partie Antoine Loguillard, secrétaire départemental de l’UNSA-Éducation, et Monique Gonzales, secrétaire départemental du Syndicat des enseignants (SE-UNSA). Côté bonnes nouvelles, en effet, l’Ariège va profiter du «contexte national de créations de postes». Il ne s’agira pas, cependant, de postes d’enseignants dans les classes mais de dix postes de formateurs pour les vingt stagiaires actuellement inscrits en école supérieure du professorat et de l’éducation (ESPE) du département. «Du coup, pour la première fois depuis 2008, des enseignants stagiaires vont retourner au centre universitaire à Montgauzy (à Foix, N.D.L.R.)», se félicite Antoine Loguillard.

Pas de nouveauté à attendre, en revanche, pour les postes de professeurs des écoles devant les élèves. L’académie de Toulouse a, certes, «récupéré» 167 postes cette année – «Avec ceux de l’an passé, cela permet de rattraper totalement les suppressions enregistrées en 2011 et 2012 sous le gouvernement Fillon», glisse Antoine Loguillard – mais l’Ariège, qui a bénéficié d’un rattrapage l’an passé, n’en verra pas la couleur. C’est donc avec un nombre de postes identique à celui de l’année scolaire 2013-2014 que l’inspectrice d’académie travaille sur la carte scolaire 2014-2015. (…)

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