Aliments bio, réduction des déchets, contenants réutilisables… en restauration collective

Selon l’ANSES (l’agence nationale de sécurité sanitaire
de l’alimentation, de l’environnement et du travail) deux enfants sur trois en moyenne, soit plus de 7 millions d’enfants, mangent à la cantine au moins une fois par semaine de la maternelle au lycée, il est donc urgent d’agir sur ce que mangent les enfants, sur les contenants et les déchets dans la restauration scolaire.

Introduire est une alimentation biologique et durable en restauration scolaire  est une question de santé publique car pesticides ou autres perturbateurs endocriniens se retrouvent dans notre nourriture et les premiers particulièrement touchés sont les enfants, leur système hormonal étant beaucoup plus sensible que celui des adultes.

Des mesures sur le sujet existent :

Depuis 2014 l’usage des pesticides est interdit dans l’enceinte des établissements scolaires, centres de loisirs, crèches et autres lieux accueillant des enfants.

En février 2015, Ségolène Royal et Najat Vallaud-Belkacem ont annoncé une série de mesures, dont le plan Eco Phyto qui contiendra des aides pour encourager le développement du Bio dans les cantines scolaires. Enfin, « le projet de loi de transition énergétique pour la croissance verte avance au 31 décembre 2016 l’interdiction de l’usage des pesticides dans les espaces verts des communes. ».

En novembre 2016 un amendement a été adopté à l’unanimité par l’Assemblée nationale. Il prévoit que d’ici 2020, les restaurants collectifs devront proposer 40 % de produits dits « durables » (de saison, de qualité et issus de circuits courts) dont 20 % de produits bio.

Voici quelques exemples de réussite en la matière :

La ville de Mouans en Sartoux a choisi le bio et les circuits courts pour ses cantines.

A Paris, certains aliments comme les yaourts, le pain sont choisis car issus de l’agriculture biologiques.

Cuisiniers ou gestionnaires de cantine suppriment les conserves au profit de produits frais respectent la saisonnalité des aliments sans pour autant augmenter le coût des repas, et réduisent l’utilisation de sel et de sucre, qui occasionne obésité et problèmes cardio-vasculaires.

La ville de Roubaix se lance dans le zéro déchets.

Dans le même ordre d’idées, la ville de Strasbourg va remplacer progressivement les barquettes en plastique des cantines scolaires par de la vaisselle réutilisable. Moins de déchets, une nuisance sanitaire en moins.

Bien évidemment, cette petite liste loin de recenser toutes les initiatives est à compléter… Il s’agit juste de commencer à diffuser les initiatives…

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Selon l’ANSES (l’agence nationale de sécurité sanitaire
de l’alimentation, de l’environnement et du travail) deux enfants sur trois en moyenne, soit plus de 7 millions d’enfants, mangent à la cantine au moins une fois par semaine de la maternelle au lycée, il est donc urgent d’agir sur ce que mangent les enfants, sur les contenants et les déchets dans la restauration scolaire.

Introduire est une alimentation biologique et durable en restauration scolaire  est une question de santé publique car pesticides ou autres perturbateurs endocriniens se retrouvent dans notre nourriture et les premiers particulièrement touchés sont les enfants, leur système hormonal étant beaucoup plus sensible que celui des adultes.

Des mesures sur le sujet existent :

Depuis 2014 l’usage des pesticides est interdit dans l’enceinte des établissements scolaires, centres de loisirs, crèches et autres lieux accueillant des enfants.

En février 2015, Ségolène Royal et Najat Vallaud-Belkacem ont annoncé une série de mesures, dont le plan Eco Phyto qui contiendra des aides pour encourager le développement du Bio dans les cantines scolaires. Enfin, « le projet de loi de transition énergétique pour la croissance verte avance au 31 décembre 2016 l’interdiction de l’usage des pesticides dans les espaces verts des communes. ».

En novembre 2016 un amendement a été adopté à l’unanimité par l’Assemblée nationale. Il prévoit que d’ici 2020, les restaurants collectifs devront proposer 40 % de produits dits « durables » (de saison, de qualité et issus de circuits courts) dont 20 % de produits bio.

Voici quelques exemples de réussite en la matière :

La ville de Mouans en Sartoux a choisi le bio et les circuits courts pour ses cantines.

A Paris, certains aliments comme les yaourts, le pain sont choisis car issus de l’agriculture biologiques.

Cuisiniers ou gestionnaires de cantine suppriment les conserves au profit de produits frais respectent la saisonnalité des aliments sans pour autant augmenter le coût des repas, et réduisent l’utilisation de sel et de sucre, qui occasionne obésité et problèmes cardio-vasculaires.

La ville de Roubaix se lance dans le zéro déchets.

Dans le même ordre d’idées, la ville de Strasbourg va remplacer progressivement les barquettes en plastique des cantines scolaires par de la vaisselle réutilisable. Moins de déchets, une nuisance sanitaire en moins.

Bien évidemment, cette petite liste loin de recenser toutes les initiatives est à compléter… Il s’agit juste de commencer à diffuser les initiatives…